<399> ministres anglais sur toutes les affaires où vous le jugerez être nécessaire et de la bienséance. Vous saurez bien dire un mot à M. Pitt sur ce que vous m'avez marqué au sujet de l'ignorance où le prince Ferdinand de Brunswick avait laissé jusqu'à présent les ministres des motifs de ses opérations présentes, que je n'avais pas laissé d'avertir le Prince1 de ne plus manquer à cette attention absolument nécessaire et de les tranquilliser là-dessus.

Au surplus, vous pourrez compter que je ne vous laisserai languir de mes nouvelles, dès qu'il sera arrivé ici quelque chose de quelque importance relativement à mes opérations.

Federic.

Nach dem Concept.


11197. AN DEN OBERST VON HACKE, COMMANDANTEN VON GLOGAU.

Im Lager bei Schmottseifen, 13. Juli 1759.

Ich habe Euren Bericht vom 12. dieses erhalten, und ist bis heute noch nichts durch. So viel Meine Nachrichten besagen, wollen die Feinde ihren Coup über Bunzlau ausrichten; Ich habe aber alle Meine Mesures so genommen, dass sie nicht zwei Stunden marschiren können, ohne 3000 Pferde von Mir auf den Rücken zu haben.

Wor zwischen hier und Bunzlau 4 Mann vom Feind durchgehen, so soll Er sogleich davon avertiret werden.

Friderich.2

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin. Der Zusatz eigenhändig.


11198. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL PRINCE FRÉDÉRIC EUGÈNE DE WÜRTTEMBERG.

[Schmottseifen,] 13 [juillet 1759].

Je vous suis fort obligé, mon cher Neveu, du rapport que vous me faites.3 J'attends encore quelque nouvelle qui me viendra entre ci



1 Vergl. Nr. 11195.

2 Eichel schreibt, Schmottseifen 13. Juli, an Finckenstein, die Oesterreicher hätten fast alle ihre Streitkräfte, selbst die aus Oberschlesien, an den Grenzen der Lausitz versammelt. Es sei zu besorgen, „que l'ennemi . . . ne tentât quelque coup à l'improviste par la Lusace dans la Marche“ . Eichel sendet dem Minister einen (nicht mehr beiliegenden) „Extract“ , aus dem dieser ersehen werde, welche geheime Expedition man dem General Laudon anvertrauen wolle. „Serait-ce peut-être que cet homme doive hasarder tout d'un coup une entreprise sur Küstrin? coup qui serait de la dernière importance, s'il réussit à l'ennemi. Le colonel de Thadden, qui y commande présentement, est un officier entendu, très brave et de mérite.“ Finckenstein möge ihn in Kenntniss setzen, „afin qu'il fût d'autant plus sur sa garde contre toute surprise et préparé contre tout coup de main“ .

3 In einem dritten Schreiben vom 13. Juli, das wie die vorangehenden (Nr. 11193 und 11194) vom Cabinetssecretär aufgesetzt war, hatte der König für einen zweiten Bericht vom 13. danken und bemerken lassen: „Ich denke, dass Laudon bei Gelegenheit seiner Ausschreibungen noch um mehr Leute kommen wird“ .