<508> Besorgniss dieser Sache, um solche nach seinem Gutdünken auszuführen.

Weisungen [Bleinotizen] für die Antwort; auf der Rückseite des Berichts von Wunsch, d. d. Wittenberg 28. August.


11387. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE FINCKENSTEIN A MAGDEBURG.

[Fürstenwalde, 29 août 1759.]1

Chiffre Finck!

Les nouvelles que je peux vous donner avec certitude, se réduisent à ceci, savoir que Daun est auprès de Muskau où il observe mon frère; que les Russes sont avancés jusqu'à Lichtenberg2; que le général Wunsch est en Saxe, pour reprendre Wittenberg, Torgau et Leipzig, et que nous couvrons le pays, le mieux qu'il nous est possible. Voilà des choses sur lesquelles vous pouvez compter. Quant aux incertaines et aux conjectures, je ne vous en entretiens pas.

Tout ce que nous avons gagné, est d'avoir ramassé 60 canons et 4 bataillons que j'ai attirés à moi de la Poméranie. Wunsch a repris Wittenberg,3 il marche sur Torgau. Si les choses vont bien ici, je ne crains pas cette armée de l'Empire. Tout dépend de ce qui se passera entre Berlin et Francfort.

J'apprends, dans ce moment, que les barbares roulent dans leur tête le dessein de délivrer Dresde. Je suis alerte, je ne laisserai échapper aucune occasion; vous jugez facilement ce que je pense de ce projet.

Federic.

Nach dem eigenhändigen Concept; der Zusatz eigenhändig auf der im übrigen chiffrirten Ausfertigung.


11388. AN DEN MAJOR VON HUNDT.

[Fürstenwalde, August 1759.]

Wir würden keine rechte Zeitungen kriegen, wofern er nicht einmal nächtlicher Weile in den sächsischen Dörfern4 eine Ravage machte. Sollte auch Ausschreibungen da machen, möchten es auch bringen oder nicht.

Wittenberg hätten wir wieder; in einigen Tagen, hoffete Ich, würde Torgau auch wieder über sein.

Gut wäre es doch, dass wir wüssten, was bei Lübben eingerücket,5 wo das hergekommen und wo es hin will.

Weisungen [Bleinotizen] für die Antwort; auf der Rückseite des Berichts von Hundt, d. d. Storkow 29. August.



1 Das Datum von Cöper zugesetzt.

2 Westsüdwestl. von Frankfurt.

3 Vergl. Nr. 11386.

4 Die sächsische Grenze lief damals nicht weit südlich von Storkow.

5 Vergl. Nr. 11385. Hundt meldete, in Lübben seien gestern Abend 100 Pferde eingerückt.