<555> que de marcher à tire d'aile à Glogau, pour les prévenir et d'attirer à moi ce que je pourrai de Fouqué.

Votre éloignement de l'armée de l'ennemi lui facilite tous les détachements qu'il veut faire. Finck m'a écrit1 qu'au cas qu'il trouvât la position de l'ennemi inattaquable, il prendrait sa position à Meissen. D'ailleurs, comme l'ennemi s'est saisi, contre la teneur de la capitulation, de nos pontons à Dresde,2 il faudra que vous preniez avec vous vos pontons, au cas que vous marchiez sur l'Elbe. Je vous recommande Torgau, principalement si je suis assez heureux pour faire manquer le siège de Glogau; car Daun pour lors voudra s'en dédommager sur la Saxe, et sûrement il voudra entreprendre le long de l'Elbe.

Federic.

Nach dem Concept.


11480. AN DEN REGIERENDEN HERZOG VON BRAUNSCHWEIG.

Der Herzog sendet, Braunschweig 17. September, dem Könige eine ihm von guter. Hand zugekommene Relation aus Paris, in der u. a. bemerkt wird: „Les avantages que les Russes ont obtenus le 12 d'août, bien loin d'avoir causé de la joie en France, y déplaisent ... On s'aperçoit à cette heure de la sottise qu'on a faite de vouloir abîmer le roi de Prusse.“ Choiseul habe zu dem holländischen Gesandten Berkenrode gesagt, „qu'il espérait que les Anglais voudraient penser une bonne fois à la paix, que l'affaire pressait, si on ne voulait voir opprimer le roi de Prusse, ce qui ne pouvait être bon pour toute l'Europe“ .

[September 1759.]

Compliment!

Ich dächte, dass das jetzige Feuer sich wohl einmal legen würde und Europa vernünftig werden würde.

Weisungen [Bleinotizenj für die Antwort; am Rande des herzoglichen Schreibens, d. d. Braunschweig 17. September.


11481. AN DEN ETATSMINISTER FREIHERRN VON SCHLABRENDORFF IN BRESLAU.

Sagan, 21. September 1759.

Die Russen marschiren nach Glogau, um solches zu belagern. Ich sehe Mich dieserhalb genöthigt, nach Schlesien zu komrnen, und werde Ich suchen, Mich vor Glogau zu setzen. Ich habe Euch davon avertiren wollen, und ist Mein Wille, dass Ihr von Kassensachen und übrigen Angelegenheiten vor der Hand keine Berichte erstatten sollet.3

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Bertin.



1 Bericht Finck's, d. d. Deutsch-Bora 18. September.

2 Vergl. S. 531.

3 Am 24. erhält Schlabrendorff Befehl, keine Kassengelder nach Glogau transportiren zu lassen: „und habet Ihr in dergleichen Vorfällen Euch bei denen Commandanten der Plätze Raths zu erholen und nicht für Eueren Kopf zu agiren“ .