<600>theilt, setzt ihn der König von dem in Kenntniss, was er Mitchell in der Angelegenheit geantwortet hat.1

Vous ferez usage de ce. que dessus vis-à-vis du baron de Knyphausen, dont d'ailleurs j'approuve parfaitement, vu la nécessité qui m'y oblige, l'idée qu'il a de négocier la continuation du subside anglais.2

Ferner wird dem Minister mitgetheilt, dass die Oesterreicher im Begriff ständen, sich von den Russen zu trennen, und bereits ihre Bagage hätten abfahren lassen.

Auszug aus der Ausfertigung.


11544. AN DEN MAJOR VON SEELHORST.3

Sophienthal, 20. October 1759.

Ich habe Euern Bericht vom 19. dieses erhalten, und thut Ihr ganz wohl daran, auf des Generals Beck Mouvements ein genaues Augenmerk zu haben; Ich erwarte jedoch noch nähere Nachrichten wegen seines Marsches auf Hirschberg, indem, da er nicht stärker denn 7000 Mann, Ich nicht glauben sollte, dass er sich so sehr mausig machen würde.

Friderich.4

Nach einer Abschrift im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin.


11545. AU PRINCE HENRI DE PRUSSE.

Prinz Heinrich berichtet, Strehla 16. October, der General Rebentisch sei nach Eilenburg detachirt worden, „afin de veiller zur Leipzig“ ; General Wunsch sei zu seiner Unterstützung entsandt worden, doch hätten beide Generale bei der Uebermacht des Feindes für nöthig befunden, sich auf Torgau zurückzuziehen: „J'ai détaché cette nuit le général Finck. Mais comme l'ennemi est à mon dos et que les chemins me sont coupés par là sur Torgau et que mon camp devient excessivement faible, j'ai résolu de marcher ce soir à cinq heures. Je crois que le dessein de l'ennemi est de marcher sur Leipzig. S'il est possible, je l'empêcherai; mais j'en doute. Je ne puis pas faire tête de deux côtés à la fois. Je ne puis trouver des postes pour de petits corps qui ne puissent être tournés, pas même pour l'armée. Ici j'occupe l'unique, mais il est excessivement étendu, d'ailleurs par la position de l'ennemi plus tenable. Il faudrait trouver le moyen d'attaquer l'ennemi. L'armée de Daun est sur des hauteurs bordées par des défilés. Il faudrait déboucher sous le feu du canon. Les détachements ont marché par les forêts de Torgau. La montagne, les hauteurs et îes défilés sont tous à leur avantage. Je n'ai pas le temps de vous dire ce que j'ai voulu tenter, et pourquoi je ne l'ai pas fait; mais la vérité m'oblige à vous dire franchement que, quoique je ferai tout ce qu'humainement il me sera possible, que je doute, à moins d'un évènement imprévu, que je puisse maintenir la Saxe. L'ennemi est trop supérieur, la situation du terrain entre Torgau et Leipzig trop désavantageuse et les places qu'il faut soutenir, d'elles-mêmes, de sorte qu'il faut des corps pour les couvrir, qui ne se trouvent pas. C'est une triste vérité, mais elle est exactement réelle comme je la représente. Si l'ennemi profite de ses avan-“



1 Vergl. Nr. 11535.

2 Vergl. Bd. XVII. S. 469. Die am 9. November erneuerte Subsidien-Convention zwischen England und Preussen vergl, in den Danziger „Beyträgen“ B. 9 S. 357.

3 Vergl. Nr. 11502. Seelhorst befand sich nach seinen Berichten im Monat October in der Gegend von Löwenberg.

4 Ein zweites Schreiben vom 20. enthält den Befehl, Patrouillen auch „rechter Hand gegen Sagan und Sprottau“ zu schicken und alles rein halten zu lassen.