<89> einiges Dépôt auf fünf oder sechs Tage, desgleichen auch zu Colberg gemachet werden kann.

Ich beziehe Mich übrigens auf alle Meine vorige deshalb ergangene Ordres1 und mache Euch hierbei nur noch bekannt, wie dass bei der gestrigen Parole alihier Ich unter denen bei solcher publicirten Avancements aus eigner Bewegung Euch mit zum Generalmajor declariret habe und nicht zweifele, es werde Euch dieses um so mehr animiren, Meinen dortigen Dienst in denen Euch aufgetragenen Sachen mit so mehrerm Fleiss, Eifer und Application vorzustehen.

Friderich.

Nach dem Concept.


10744. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE FINCKENSTEIN A BERLIN.

Breslau, 26 février 1759.

J'ai été content de ce que vous m'avez marqué par votre lettre du 20 au sujet de la commission dont je vous ai chargé relativement aux affaires de Suède.2

Pour ce qui regarde les dix ou onze officiers prisonniers suédois à Berlin que vous voudriez être relâchés sur leur parole et contre le revers ordinaire,3 je veux bien me prêter à cela et vous envoie ci-clos l'ordre en conséquence au lieutenant-général de Rochow,4 afin que vous en sachiez faire l'usage convenable et de sorte que ledit lieutenantgénéral ne puisse rien soupçonner du vrai but; mais, avec tout cela, vous serez sur vos gardes, pour ne pas vous tromper dans le choix de ces gens, c'est pourquoi je voudrais bien que vous sondiez au moins le colonel Hordt là-dessus.

Quant à l'argent à employer pour cette affaire, vous commencerez toujours à vous servir des 2 000 écus, mis déjà en dépôt à cet usage;5 après quoi, je vous ferai compter successivement les autres 40 000 écus.6 Comme, au surplus, je vous ai chargé déjà de tout le maniement de cette affaire secrète,7 et que je vous en abandonne la direction, je serais bien aise que vous ne me mêliez plus du tout du détail, mais que vous agissiez de vous seul et de votre propre ressort, après que vous savez



1 Am 17. Februar war eine, in Abschrift auch an Dohna übersandte Ordre an Stutterheim ergangen. Der König hatte ihm „nochmalen und mit grössestem Ernste“ befohlen, der Lieferungen aus dem Mecklenburgischen auf das allerserieuseste sich anzunehmen und sie dergestalt zu pressiren, „damit zu Stettin auf das ganze dortige Corps d'armée ein starkes Magazin auf wenigstens 6 Monate zusammengeschaffet und vorräthig gehalten werde“ . „Ich will durchaus von keinen Difficultäten dagegen etwas hören, sondern die Sache soll und muss sein.“ [Abschrift im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin.]

2 Vergl. S. 61.

3 Graf Hordt hatte gerathen, einer Anzahl kriegsgefangener schwedischer Officiere die Heimkehr zu gestatten, um sich ihrer in Schweden gegen die Partei des Reichsraths zu bedienen. Vergl. S. 53.

4 D. d. Breslau 26. Februar.

5 Vergl. S. 76; Bd. XVII, 238. 239.

6 Vergl. S. 53.

7 Vergl. S. 76.