11493. AU GÉNÉRAL DE L'INFANTERIE BARON DE LA MOTTE-FOUQUÉ.

[Baunau,] 28 septembre [1759].

Les barbares sont encore vis-à-vis de moi; je leur prépare un bon tour; s'il réussit, ils dénicheront bien vite. Je vous avoue que j'ai grande impatience d'en être délivré, pas pour moi, mais pour le pays qu'ils ruinent et qu'ils brûlent. Je vous manderai tout ce qui se passe ici.

<564>

Mandez-moi, mon cher, et de vos nouvelles et de ce qui se passe du côté de Gœrlitz. Adieu, je vous embrasse.

Federic.

Nach dem Abdruck564-1 in den „Mémoires du baron de La Motte-Fouqué“ (herausgeg. von Büttner; Berlin 1788), Bd. II, S. 21.



564-1 Die Handschrift, die jedenfalls zu den in Wien befindlichen Papieren gehört hat, ist nicht mehr aufzufinden.