<231> umständlich vorgeschrieben habe,1 von Mir aber alsdenn versichert sein, dass Ich solche Eure treue und rechtschaffene Dienste auf das gnädigste erkennen und gewiss sein werde Euer wohlaffectionirter König

Friderich.2

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstahs zu Berlin.


11968. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.

Freiberg, 2 avril 1760.

J'ai reçu la dépêche que vous m'avez faite du 25 de mars, que j'ai trouvé bien digne de mon attention par les particularités intéressantes qu'elle comprend, et dont je vous [sais] bien du gré.3 Je vous renvoie, au surplus, à ma dernière lettre;4 il faudra voir de quelle façon les Français s'expliqueront encore, et sous quelle face ils apparaîtront, quand ils se seront démasqués entièrement. Prêtez-y toute votre application et continuez à m'en donner vos nouvelles avec exactitude et le plus souvent que vous pourrez.

Federic.

Nach dem Concept.


11969. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION BARON DE KNYPHAUSEN A LONDRES.

Freiberg, 3 avril5 1760.

Der König bestätigt den Empfang des Berichtes vom 21. März und verweist auf seine letzten Schreiben. Il est plus que probable que la France est très pressée pour avoir la paix et que, par cette raison, la cour de Versailles enverra quelqu'un de sa part en Angleterre6 muni de pleins pouvoirs pour y convenir des articles principaux pour servir de préliminaires à la paix générale, ladite cour souhaitant au possible, comme on peut l'assurer assez positivement, d'éviter de faire la campagne prochaine. Il faudra, en ce cas, qu'en conformité de mes précédents ordres vous dirigiez, entre autres, votre attention principale à ce que je ne sois point oublié, lorsqu'il sera question de dresser les préliminaires de paix entre l'Angleterre et la France,



1 Vergl. S. 140.

2 Die obige Cabinetsordre wird am 2. April abschriftlich mit gleichlautenden Begleitschreiben an Fouqué und an Goltz gesandt.

3 Hellen hatte weitere Mittheilungen über das letzte Gespräch zwischen Yorke und d'Affry (vergl. Nr. 11957) gemacht.

4 Nr. 11957.

5 Vom 3. April ein Schreiben an Voltaire in den Œuvres Bd. 23, S. 73.

6 Mitchell berichtet, Freiberg 2. April (secret and supplemental), an Holdernesse, der König habe ihm gesagt, „that he begins now to think the French are really in earnest to make peace and that he heard they intended to have sent a gentleman into England, against whom there had been objections on account of his principles“ . [London, Public Record Office.] — Die Nachricht von der Absicht, einen Unterhändler nach England zu senden, geht auf Heilens Bericht vom 25. März zurück.