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ben an Valory aufzuklären versprochen hat. „Au reste, Sire, je n'ai pas toutes les qualités requises pour remplir mon poste aussi dignement que je le souhaiterais; j'ose cependant L'assurer que je ne commettrai jamais Votre Majesté et que j'exécuterai toujours Ses ordres avec la dernière exactitude.“

Ich wohl sprechen wollte, aber es wäre noch zu früh, und könnte es nicht eher geschehen, bis die Franzosen einige Avantage erhalten, und die österreichische Partie matt würde. Ehe solches geschehen sei, könnte Ich nicht sprechen, denn sonsten solches vergeblich sein und Mich nur entrainiren würde.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1001. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.

Berlin, 28 octobre 1742.

Monsieur mon Cousin. Les soins que vous prenez pour me désabuser sur les soupçons que j'ai eus de la conduite du marquis de la Chétardie doivent me suffire. Je n'entre point dans l'examen du passé, sur ce qui peut s'être négocié à Pétersbourg, ou sur ce qui s'est pu débiter à Rome,1 et voyant la volonté qu'a le roi de France de cultiver les liens d'amitié qui subsistent entre nous, je puis vous assurer que j'y répondrai toujours sincèrement. Oublions, Monsieur, de part et d'autre tous les sujets de mécontentement que nous pensons avoir eus, et, ouvrant les yeux sur nos véritables intérêts, ne soyons occupés qu'à bien vivre ensemble. Je suis dans la ferme persuasion que ce doit être notre objet réciproque. Je puis vous assurer, Monsieur, que je ne le perdrai jamais de vue, et que, dans toutes les occasions où je pourrai me trouver en liberté de vous en donner des marques, je ne le négligerai certainement point.

Je me borne, en attendant, à faire des vœux pour tout ce qui peut être à l'avantage du Roi votre maître et pour le bien de l'Empereur. Vous ne trouverez pas étrange, Monsieur, si en même temps je m'intéresse à votre conservation avec autant d'affection qu'un ami; deux ans de correspondance valent bien une année de commerce, et peu de moments de commerce vous doivent gagner les cœurs. Je suis avec toute l'estime imaginable, Monsieur mon Cousin, votre fidèle ami et cousin

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.



1 Vergl. oben Nr. 954. S. 250.