803. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BROGLIE A PISEK.

Chrudim, 23 avril 1742.

Monsieur. J'ai reçu vos deux lettres, et je vous suis très obligé de tous les avis que vous me donnez de la position de l'ennemi et des intentions qu'il peut avoir, sur quoi je ne manquerai pas de prendre mes mesures. La bonne nouvelle de la prise de la ville d'Égra m'a extrêmement réjoui, et je vous en félicite cordialement, ne souhaitant rien plus au monde que d'avoir bientôt encore d'autres bonnes nouvelles des progrès heureux que les troupes sous vos ordres feront contre l'ennemi commun. Personne n'y prendra plus de part que moi, et vous me ferez justice si vous êtes assuré que je suis avec toute l'estime imaginable etc.

Federic.

Nach dem Concept.