951. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Klinggräffen berichtet, Frankfurt 4. August : L'Empereur „se trouve presque au désespoir dans la situation présente. Milord Stair doit avoir parlé à la Haye au comte de Seinsheim avec une hauteur extraordinaire, jusque-là même de dire que l'Empereur ne doit pas penser à parler de l'évacuation de la Bavière, et exigeant -des conditions que ce prince ne serait pas en état de remplir .... J'ai pu comprendre .. qu'on exigeait que l'Empereur dût sur le champ tourner ses armes contre les Français; ce prince en a été frappé comme d'un coup de fondre, regardant la chose de cette façon qu'on voudrait lui faire perdre ses justes prétentions et en même temps tous ses États.“

Klinggräffen soll alles dienliche anwenden, um den Kaiser nur zu beruhigen, und ihm sagen, er habe nicht nöthig zu desesperiren, seine Sachen würden noch besser werden, als er es gedächte; er möchte sich an die Reden des Mylord Stair nicht kehren, es wäre derselbe ein Brouillon, und das englische Ministerium hätte ganz andere Gedanken und würde den Kaiser nicht abandonniren.

Mündliche Resolution (praes. 11. August). Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.