1246. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Klinggräffen berichtet, Frankfurt a. M. 29. October: „Hier, l'Empereur continua à me dire que le sieur de Chavigny, bien

Potsdam, 3. November 1743.

Der ganze Discurs von Chavigny ist Mir verdächtig. Kling-

loin de parler de paix, l'assurait . . . que ce ne serait pas la France qui en ferait la première la proposition; qu'il n'approuve pas qu'elle ait fait jusqu'ici une espèce d'avance là-dessus et d'avoir témoigné trop de mollesse . . . Que la France ne prétendait pas un village, et se contenterait de conserver ses États, mais puisqu'elle avait été attaquée en haine des engagements pris avec l'Empereur, elle l'assisterait de toutes ses forces, pour lui faire avoir une juste satisfaction; qu'elle aurait 280,000 hommes au printemps prochain, et qu'on avait fait un fond de 250,000,000 livres; que la France n'épargnerait rien pour que l'Empereur eût pareillement une armée respectable.“

gräffen soll dem Kaiser nur zu insinuiren suchen, dass, um zu sehen, ob es. die Franzosen mit ihm aufrichtig meinen, er das Geld fordern sollte, um seine Truppen zu retabliren, als auch die bewussten Kreistruppen zu seiner Association zu bekommen. Gäben die Franzosen das Geld, so wäre an ihrer aufrichtigen Intention nicht zu zweifeln, wo nicht, so wäre es unklar.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.