<164> nur Euch noch solches Bataillon verabfolgen zu lassen, sondern auch künftighin sich gegen Euch als jetzo in Schlesien commandirenden General vernünftiger und besser zu fügen, wann Ihr ihn zum Besten Meines Dienstes warum requiriren werdet.

Dass es uns bei verschiedenen Regimentern an Officiers fehlet, solches ist Mir ganz wohl bekannt; Ich habe daher die Tentative gethan und suche Officiers aus den hessischen und sogar holländischen Diensten1 in die Meinige zu engagiren; sobald Ich solche bekomme, werde einige davon bei denen von Euch benannten Regimentern placiren.

Friderich.

Die Regimenter und Generals werden Winterquartiergelder kriegen, ich kann aber nichts vor März auszahlen lassen.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


12604. A LA REINE DE SUÈDE A STOCKHOLM.

Leipzig, 25 décembre [1760].

J'ai été extrêmement sensible à la lettre que vous avez eu la bonté de me faire du 1er de ce mois. Je me flatte que vous aurez reçu celle que je vous ai dépêchée le 29 de novembre.2

Je suis charmé de vous avoir prévenue dans vos désirs, et mon envoyé Borcke n'attend que vos ordres pour vous remettre l'argent, par des voies sûres et sans qu'âme qui vive en puisse soupçonner quelque chose, à cet usage que vous souhaitez. Si je vois que le succès en sera secondé efficacement, et que les affaires de la Diète prennent le train désirable, de sorte que j'en saurais bien augurer pour le rétablissement de la paix avec la Suède, après la guerre la plus injuste qu'elle m'a déclarée frivolement, je continuerai à faire une autre remise encore, au moins aussi forte que la présente.

Je m'abandonne en tout ceci à votre sagesse et prudence, et vous connaissez les sentiments de mon cœur avec lesquels je suis tout à vous.

Federic.

Nach dem Concept.


12605. AN DEN GRAFEN VON SANDRASKY IN LANGENBIELAU.

Leipzig, 25. December 1760.

Sobald Ich nur die erste Nachricht erhalten, dass Euch der Feind von Euren Gütern in Schlesien enleviret und nach Glatz geschleppet hatte, so habe Ich deshalb sofort alles gnädige Mitleiden mit Euch und Eurer Familie getragen, zugleich aber auch auf die erstere Nachricht davon an den Generalfeldmarschall Daun schreiben und auf die Relaxation des Euch höchst unbilliger Weise geschehenen Arrestes und Enle-



1 Vergl. S. 139. 152.

2 Nr. 12557.