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12760. AU MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE MITCHELL A LEIPZIG.

Meissen, 23 mars 1761.

Je vous suis bien obligé, Monsieur, de l'attention que vous avez eue à m'envoyer cette lettre que celle de M. Mackenzie1 à vous avait renfermée pour moi.2 Permettez que je vous adresse ci-joint la réponse que je viens d'y faire; vous me ferez plaisir de la faire passer à sa destination de la même façon et par le même canal que vous avez reçu la lettre que vous m'avez remise.

Faites mes compliments à M. Mackenzie. Je vous sais parfaitement gré de la communication de ses nouvelles d'Italie,3 que je souhaiterais d'avoir plus souvent.

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


12761. AN DEN GENERALLIEUTENANT VON HÜLSEN.4

[Meissen, März 1761.]

Dankte für die Nachrichten.5 Hier in Sachsen ist Daun noch nicht angekommen. So viel wie Ich aus ihren Mouvements und weiter erführe, so wären die Leute pur auf die Defensive, und es freute mich, dass sie nach den Demonstrationen, so Ich nach Pasberg gemacht,6 griffen, und glaubte Ich, so viel Ich bis dato einsähe, dass wir bis den 15. April würden in unserer itzigen Position stehen bleiben können.

Weisungen [Bleinotizen] für die Antwort; auf der Rückseite des Berichts von Hülsen, d. d. Freiberg 23. März.


12762. AU FELD-MARÉCHAL PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK.

Meissen, 25 mars7 1761.

Des lettres qui me sont arrivées de la Silésie, m'apprennent que les Autrichiens venaient de détacher là des frontières 10 bataillons d'infanterie à Kuttenberg, qui s'y arrêteraient jusqu'à nouvel ordre. On ajoute qu'il couraient des bruits comme si ces troupes pourraient être destinées à marcher dans l'Empire, mais que ces bruits n'étaient pas assez fondés, pour ne pas mériter confirmation. Ces nouvelles vagues,



1 Der englische Gesandte in Turin.

2 Das Schreiben Edelsheims, vergl. Nr. 12759.

3 Mitchell hatte, Leipzig 21. März, geschrieben: „M. Mackenzie .. me marque que tout est tranquille en Italie.“

4 Der General Hülsen befand sich im Monat März in Freiberg.

5 Hülsen hatte gemeldet, man sei „in Böhmen voller Furcht, es würde ein preussisches Corps über Reitzenhain (südl. von Marienberg) in Böhmen eindringen, daher . . die Postirung auf der Grenze . . verstärkt worden [sei].“

6 Vergl. S. 270.

7 Ein Schreiben an d'Argens aus dem März, wahrscheinlich vom 25., in den Œuvres, Bd. 19, S. 215.