<202>dass er nur die Posten allein noch passiren, alle ihm verdächtige Estafettes und Courriers aber wegnehmen wollen, und dass der Kaiser dadurch zu Frankfurt gleichsam bloquiret worden, auch was sonsten noch dahin dienet, mit releviren möchten.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


1495 AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Von dem Cabinetssecretär.

Chambrier berichtet, Lille 18. Juni : „Le roi de France est très content des nouvelles liaisons qu'il a contractées avec Votre Majesté. Noailles et Argenson les regardent comme le seul moyen décisif pour parvenir à la paix, ce qui sera toujours ce qu'ils désireront le plus, malgré le rôle flatteur qu'ils jouent actuellement. Ils voudraient bien que Votre Majesté agît plus tôt que le mois d'août, et il s'entend de plus en plus que le traité qu'Elle a fait avec le roi de France est entièrement à l'avantage de Votre Majesté ; aussi en ont-ils dans le fond de l'âme une petite humiliation, qu'ils cachent tant qu'ils peuvent.“

Klinggräffen berichtet, Frankfurt a. M. 30. Juni, über die Stimmung des Kaisers: „Je sais que ses impatiences lui reprennent depuis peu et qu'il a même fait entrevoir au sieur de Chavigny que, suivant le train que prenaient les choses, il craignait de rester le seul sacrifice .... Je ne répondraiss pa de lui, quand il se vît sans ressource; je crains même que sa santé ne résisterait plus longtemps.“

Dohna berichtet, Wien 20. Juni: „II semble qu'on sent plus que de coutume que les affaires vont mal de tous côtés, qu'on est fort consterné de la subite reddition de Menin .... Les affaires d'Italie font toutefois encore plus de peine... L'on serait comme cela bien aise de sortir de l'affaire en restituant la Bavière, et la crainte d'être obligée d'y ajouter quelque cession ou qu'on prenne quelque chose, intrigue fort.“

Potsdam, 6. Juli 1744.

Des Königs Majestät haben mir befohlen, an Ew. Excellenz einliegende Relations, welche Höchstderoselben von den von Chambrier, Klinggräffen und Generallieutenant Graf Dohna immediate eingesandt worden, zuzusenden, aus deren erster Ew. Excellenz ersehen würden, auf was für Art der. König von Frankreich über den mit Sr. Königl. Majestät letzthin geschlossenen secretissimen Tractat denke.

Die zweite würde Ew. Excellenz zeigen, in was traurigen Umständen der Kaiser jetzo sei und zu was vor Resolutionen er par désespoir schreiten könnte, daferne er nicht bald Hülfe bekäme.

Und die dritte, dass die Umstände des wienerischen Hofes nicht so riant wären, als derselbe andern solches wohl glauben machen wollte.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.