<24>alors,1 on aurait eu le loisir de prendre des arrangements justes et tels qu'exigeait l'exécution d'un projet de cette conséquence; au lieu qu'ayant attendu à se déterminer jusqu'à présent, où l'ouverture de la campagne n'était éloignée tout au plus que de six semaines, elle avait perdu les avantages que l'hiver lui fournissait pour la négociation, et laissé carrière ouverte à celle de ses ennemis, de sorte que je ne serais nullement surpris qu'elle se trouvât partout prévenue à cet égard, et qu'elle rencontrât une infinité des difficultés dans la poursuite du plan qu'elle avait formé en faveur de l'Empereur ; de même que, par ce retardement, elle avait rompu et déconcerté tous les desseins d'armée de neutralité et d'observation que j'avais conçus pour remettre les affaires de Sa Majesté Impériale.

Federic.

H. Comte de Podewils. C. W. Borcke.

Nach dem Concept.


1329. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Von dem Cabinetssecretär.

Potsdam, 9. Februar 1744.

Des Königs Majestät haben mir sogleich befohlen, wie dass in der Instruction vor den p. von Geuder2 mit inseriret werden sollte :

1. Dass er auf die beiden sehr österreichisch gesinnte Ministres, als Hardenberg und Bilfinger, wohl vigiliren und Acht haben soll, damit solche mit ihren gegen des Kaisers Majestät übel gesinnten Sentiments nicht aufkommen noch etwas thun können, welches des Kaisers Interesse zuwider wäre; wobei er alles thun sollte, es dahin zu bringen, dass solche von denen Affairen gar wegkämen.

2. Dass er wohl Acht haben soll, was vor ein Cavalier des Herzogs besondere Confidence bekomme, welchen er alsdann auf das bestmöglichste cajoliren, Sr. Königl. Majestät auch selbigen sodann melden soll, weil Höchstdieselbe solchen sodann Sich durch eine Pension versichern wollen.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


1330. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Klinggräffen berichtet, Frankfurt a. M. 1. Februar: „Je n'oublie point de recommander à l'Empereur de'ne point perdre de vue l'Association. Ce Prince me répond qu'il y est fort porté et qu'il se flatte d'avoir la Hesse et l'Électeur

Potsdam, 10. Februar 1744.

Ich sehe noch nicht ab, was aus diesem Plan herauskommen soll. Wann die Franzosen mit den Kaiserlichen zusammenstossen sollen, so



1 Gemeint sein kann wohl nur das etwas spätere „Projet que doivent suivre les Français s'ils sont sensés“ , Bd. II, Nr. 1208.

2 Zur Accreditirung als Minister am württembergischen Hofe bestimmt.