1330. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

<25>

Klinggräffen berichtet, Frankfurt a. M. 1. Februar: „Je n'oublie point de recommander à l'Empereur de'ne point perdre de vue l'Association. Ce Prince me répond qu'il y est fort porté et qu'il se flatte d'avoir la Hesse et l'Électeur

Potsdam, 10. Februar 1744.

Ich sehe noch nicht ab, was aus diesem Plan herauskommen soll. Wann die Franzosen mit den Kaiserlichen zusammenstossen sollen, so

palatin .... J'entrevois toujours que l'Empereur, et surtout le comte de Törring, craignent qu'une telle association ne devienne contraire à son dessein, si les Français lui donnaient, comme on le dit encore, les troupes étrangères. Ce Prince souhaite extrêmement la restitution de ses États, et il espère toujours qu'il aura quelque autre satisfaction sur ses prétentions, ses États étant fort ruinés et d'où il ne pourrait soutenir la dignité impériale .... Tout dépend de l'arrivée du sieur de Chavigny.“

kann eine Neutralitätsarmee nicht statt haben, wie dann auch durch eine Associationsarmee offensive zu agiren wider den Plan ist.

Wenn die Franzosen in die hannöverische Lande marschiren, dann will Ich nicht nur ein Campement formiren, sondern noch mehr thun.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.