1547. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Wallenrodt berichtet, Warschau 8. August, über eine zweite, in Gegenwart Guarini's stattgehabte Conferenz mit Brühl, der ihm von neuem erklärt hat, auf das Ansuchen wegen des Durchmarsches durch Sachsen vor dem Eintreffen von Berichten aus Dresden noch keine Antwort geben zu können. „J'ai trouvé dans la conférence d'aujourd'hui au comte de Brühl beaucoup plus d'embarras que la dernière fois ; peut-être que la personne du père Guarini en était la cause . . . Tous les discours font clairement voir qu'on ne s'expliquera pas positivement sur le passage, mais qu'on traînera en longueur la réponse positive, pour donner le temps à la cour de Vienne de prendre ses mesures.“

„Quant au bruit mal inventé comme quoi Votre Majesté visait à la Pologne et

Hauptquartier Jessen, 16. August 1744.

Soll nur sagen, dass es feindselige Erfindungen, vielleicht des österreichischen Hofes wären, der nur suchte, die Polen mit dergleichen ohngegründeten Dingen zu alarmiren, da Ich doch nicht daran gedacht noch einige Ursach dazu hätte, vielmehr fest entschlossen wäre, mit der Republik eine genaue und beständige Freundschaft zu unterhalten. Den König von Polen soll er alle Contestation von Meiner wahren Freundschaft und dem Verlangen, so Ich hätte, geben, mit ihm ein genaues und confi-

qu'Elle préparait Ses armées pour l'envahir, j'ai eu soin de le détruire entièrement. Certainement il avait fait une forte impression, sur bien des esprits, même de nos bien intentionnés, mais mon arrivée ici les a ravisés entièrement et je puis dire à la vérité qu'on me regarde ici comme l'ange gardien de la Pologne.“

dentes Verständniss zu unterhalten; den p. von Brühl aber soll er, jedoch ohne Affectation, äusserst cajoliren.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.