1567. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 29. August: „Le baron de Bülow vient de nous manifester de la part et au nom du ministère de Dresde que, comme les troupes de Votre Majesté, en passant par la Saxe, avaient commis beaucoup de désordres et de violences et causé un dommage infini au pays et aux habitants, sa cour ne pouvait regarder ce passage comme innocent ni l'envisager autrement que sur le pied einer gewaltsamen Ueberziehung. Sur quoi, nous lui avons représenté tout ce que nous avons répondu en dernier lieu au ministère de Dresde, et que les ministres de Votre Majesté en Pologne sont chargés d'insinuer à ce sujet, en y ajoutant qu'aussitôt que sa cour produirait des cas spécifiés des excès dont elle se plaignait, Votre Majesté ne manquerait pas de S'en éclaircir et d'y répondre d'une manière dont Sa Majesté Polonaise aurait lieu d'être contente, et qu'il aurait été à souhaiter que le ministère de Dresde eût nommé d'abord des commissaires pour recevoir les troupes de Votre Majesté sur les frontières de la Saxe et éviter les désordres et confusions qui pourraient être arrivés faute d'arrangements nécessaires de la part de la Saxe.“

Hauptquartier bei Prag, 6. September 1744.

Recht gut. Sie sollen aber nicht mollement oder auf eine timide Art mit ihm aus dieser Sache sprechen, sondern, wenn er mit dergleichen Insinuationen auf die Art weiter kommen sollte, ihm nerveux und trocken antworten, dass er mit dergleichen Expressionen an sich halten möchte, da, wenn man preussischerseits eine gewaltsame Ueberziehung intendiret hätte, man gewiss die Sache gar anders angegriffen haben würde. Genug, dass nichts hierunter geschehen wäre, als was bei dem jetzigen Kriege vorhin genug geschehen sei; dass Sr. Königl. Majestät Truppen auf Kaiserliche Requisitoriales marschiret, dass solche die stricteste Ordre gehabt, die rigoureuseste Disciplin zu halten und vor ihr Geld zu leben, dass wenn hier oder da solches nicht beobachtet sei, das Ministerium zu Dresden durch sein Lanterniren selbst Schuld daran sei; dass demohnerachtet aber des Königs Majestät sowohl in einem Handschreiben an den König von Polen als an den Herzog von Weissenfeis Sich offeriret hätten, wegen aller vorgefallenen Excesse Vergütung zu thun; mehr würde man hoffentlich von Deroselben mit Raison nicht fordern können.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.

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