1571. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

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Finckenstein berichtet, Stockholm 21. August, über die Aussichten seiner Verhandlung: „Votre Majesté peut être sûre d'avoir la pluralité dans le Sénat, ayant le Roi et le Prince de Son côté, mais .... la cour de Suède se trouve actuellement dans une furieuse dépendance de la Russie, les États de la dernière diète ayant expressément enjoint au Roi, avant leur séparation, de ne conclure aucun traité qu'avec le consentement de la Russie.... On m'a assuré de bonne part qu'il y avait un plan formé entre le ministère russien et les sénateurs suédois du parti anglais, pour arranger un traité dont la Suède et la Russie fussent les parties principales, et auquel on pourrait faire accéder en suite les puissances qui conviendraient le plus. On voit bien que cela mène tout

Lager vor Prag, 9. September 1744.

Soll nur suchen, den Thronfolger dahin zu disponiren, dass er selbst immediate an die russische Kaiserin schreibet, wie er dergleichen Allianz wünsche und die Kaiserin hoffentlich damit zufrieden sein würde; denn sonsten das russische Ministerium der Kaiserin nichts von der Sache vorleget, sondern alles unterschläget.270-1 Nota: An Mardefeld muss von allem Nachricht gegeben werden.

droit à l'accession de l'Angleterre, que Bestushew ne manquerait pas de proposer.“

 

Für die Accession des Königs von Schweden als Herzog von Pommern zu der Union haben die Reichsräthe Gyllenborg und Palmfeld dem Grafen Finckenstein gute Aussichten eröffnet. „Ils m'ont dit qu'il fallait attendre l'arrivée du Prince et le disposer d'appuyer la proposition dans le Sénat.“

Gut. Der Graf Finckenstein soll nur fleissig die Sache poussiren und dass der König von Schweden nur erst als Herzog von Pommern accedire.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 3. September, über ein Schreiben des Herzogs von Württemberg und ein von dem Geheimen Rath von Keller übersandtes voluminöses Memoire. „Il ne s'agit que de toute sorte d'excuses que le Duc, par la situation de ses États et par plusieurs autre sraisons qu'il détaille, ne saurait contracter des liaisons avec l'Empereur et la France, tandis cependant qu'il insiste sur une prompte restitution des seigneuries qui font partie de la succession de Montbéliard.“

Recht gut. Sie sollen ihm aber dabei nur reine heraus schreiben, dass wenn der württembergische Hof sich ferner so partialisch gegen den Kaiser bezeigen würde, Ich nicht im Stande wäre, etwas zu seiner Faveur zu thun.271-1

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



270-1 Finckenstein antwortet, 9. October, der Prinz habe bereits vor längerer Zeit in diesem Sinne an die Kaiserin geschrieben, aber noch keine Antwort erhalten.

271-1 Das auf Grund dieser Weisung im Ministerium entworfene Schreiben an den Herzog (vergl. auch Nr. 1577) ist vom 19. September.