<107> de la paix de Breslau, et que l'Électeur en fasse une condition sine qua non. Vous lui insinuerez en même temps que, bien que je pourrais prétendre de bon droit des indemnisations et des satisfactions de la reine de Hongrie pour toutes les pertes que j'ai faites, parceque j'ai agi en auxiliaire de feu l'Empereur, je sacrifierais pourtant ces indemnisations par amour de l'Électeur, pourvu que celui-ci ne fasse jamais son accommodement sans mon inclusion sur le pied de la paix de Breslau, et que l'Électeur pourra être assuré que par un parfait retour je ne ferais jamais ma paix avec la reine de Hongrie sans l'inclusion de l'Électeur.

Federic.

Nach dem Concept.


1776. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Chambrier berichtet, Paris 19. März, Marquis d'Argenson habe ihm gesagt: „Le roi de Pologne me parait tenté de la couronne impériale, je ne crois pas qu'il faille désespérer de le persuader, si le roi de Prusse veut bien lui offrir généreusement sa voix et se reconcilier sincèrement avec lui.“ Chambrier hat dem Marquis entgegnet: „Que les prétendues plaintes du roi de Pologne contre Votre Majesté n'avaient nul fondement solide, quand on voudra envisager avec impartialité la conduite de la cour de Dresde à l'égard de Votre Majesté, depuis la mort de Charles VI, et les raisons insurmontables qui ont forcé Votre Majesté à faire sa paix particulière avec la reine de Hongrie, provenant tant des intrigues continuelles du cardinal de Fleury avec la cour de Vienne, que des mauvaises opérations des Français.“

[Neisse], 4. April 1745.

Des Königs Majestät haben allergnädigst befohlen, dass dem Baron von Chambrier auf seine Relationes vom 15. und 19. dieses fordersamst geantwortet werden solle, dass, was dasjenige anbetrifft, so der dem Minister d'Argenson über das Chapitre wegen der Sachsen geantwortet, alles sehr gut und vollenkommen nach Sr. Königl. Majestät Sinn sei; gelegentlich aber, und wenn über dieses Sujet wieder mit ihm gesprochen würde, sollte er sich wegen des Aigreurs der Sachsen wider Se. Königl. Majestät dahin verlauten lassen, dass die Hauptursache davon sei, das des Königs Majestät mit der Kron Frankreich in einem so guten Vernehmen stehe, und dann zweitens der Breslauer Friede, bei welchem die Sachsen aus der Ursache leer ausgegangen wären, weil sie nichts gethan, noch thun wollen, und also auch nichts verdienet hätten; wie sich denn der französische Hof noch gar wohl erinnern würde, wie schändlich sich dermalen die sächsischen Truppen aus Mähren nach Böhmen zurückgezogen und von keinem Agiren, auch nachhero, unter allerhand unwahren Prätexten, nicht das geringste wissen wollen. Was den Vorschlag anbetreffe, den König von Polen zur Kaiserwahl zu bringen, so wären deshalb ohnübersteigliche Schwierigkeiten vorhanden; daher Se. Königl. Majestät auch persuadiret wären, dass die Kron Frankreich, aller flatteusen Offres ohnerachtet, welche sie dem sächsischen Hofe thun liessen, dennoch bei