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demandent qu'Elle suspende au moins ce rappel pour trois ou quatre mois, jusqu'à ce qu'on voie plus clair dans la violente crise des affaires d'à présent.“

Beess und Cagnony berichten, Dresden 22. Mai, dass sie den neuen französischen Gesandten Vaulgrenant ersucht haben, den sächsischen Ministern zu erklären: „Que Sa Majesté Très Chrétienne serait indispensablement obligée, au cas que leurs troupes entrassent en Silésie, de fournir à Votre Majesté un pareil nombre de troupes auxiliaires, pour être employées par Elle de la même façon que la reine de Hongrie disposait du secours de la Saxe.“ Mais ce ministre se retrancha d'abord sur son défaut d'instruction.

A Chambrier: De vives représentations là-dessus au ministère français.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 29. Mai) am Rande der Berichte.


1861. A L'ÉLECTEUR DE BAVIÈRE A MUNICH.

Quartier de Camenz, 26 mai 1745.

Monsieur mon Cousin. Je viens de recevoir la lettre que vous m'avez écrite en date du ier de ce mois. Je plains de tout mon cœur les circonstances fâcheuses où Votre Altesse Électorale S'est trouvée actuellement, mais je souhaite qu'Elle n'ait pas lieu de regretter le parti qu'Elle vient de prendre.

Je suis avec bien de l'estime, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse Électorale le très bon cousin

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


1862. AN DEN GENERALFELDMARSCHALL FÜRST VON ANHALT-DESSAU IN DESSAU.

Camenz, 26 mai 1745.

Ich erhalte eben die Nachricht, dass die österreichische Armee in Anmarsch ist, nach Schlesien über Friedland einzubrechen. Morgen sondire das Lager bei Frankenstein, und sobald als ich vermuthe, dass sie die Berge können passiret haben, so werde sie in Gottes Namen auf den Hals gehen, und wird ein jeder darbei gewisse thun, was die Ehre der preussischen Waffen erfordert. Ich avertire Ihr Durchlaucht hiervon; sobald unsere Sachen decidiret seind, so werde Ihnen citissime davon avertiren und die weitem Ordres wegen Ihrer Expedition und