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conder.... Dans le moment que j'écris ceci, je reçois la dépêche du sieur Cagnony du 8 de ce mois, touchant l'estafette que les ministres français à Dresde ont dépêché au marquis de Valory avec un projet de réconciliation entre Votre Majesté et la Saxe.“

et brusquement qu'il devait se retirer dans six heures. La lettre de Vaulgrenant à Valory ne souffle ni chaud ni froid.

Federic.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts. Demgemäss Cabinetsschreiben an Podewils, Camp de Borzitz 15 juin.


1882. AU PRINCE GUILLAUME DE HESSE-CASSEL A CASSEL.

Camp de Borzitz, 15 juin 1745.

Monsieur mon Cousin. Je viens de recevoir la lettre que Votre Altesse m'a écrite le 3 de ce mois, et Lui suis infiniment obligé des protestations sincères et pleines d'amitié qu'Elle veut bien me réitérer à l'occasion de la réquisition que j'ai faite des troupes auxiliaires hessoises, selon le traité qu'il y a entre moi et Sa maison. Grâce à Dieu que je n'en suis plus si pressé, après l'événement de la victoire dont la bonté céleste a béni mes armes contre les ennemis qui venaient assaillir de la manière la plus injuste ma Silésie; événement dont je ne doute pas que mon ministre, le comte de Podewils, n'ait déjà mandé des particularités à Votre Altesse, et qui me met en état d'attendre avec tranquillité la réponse du Roi Son frère. Elle sera persuadée que rien ne saurait arriver à Lui et à Ses intérêts dont je ne prendrai pas sincèrement part, regardant toujours ceux-ci comme les miens propres; aussi me fera-t-Elle la justice d'être assurée que rien ne saura altérer les sentiments d'amitié la plus cordiale et de la haute estime avec lesquels je serai à jamais, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le très bon cousin et très fidèle ami

Federic.

Nach dem Concept.


1883. AN DEN GENERALFELDMARSCHALL FÜRST VON ANHALT-DESSAU IN DESSAU.

Lager bei Borzitz, 16. Juni 1745.

Durchlauchtigster Fürst, freundlich geliebter Vetter. Ew. Liebden habe hierdurch zu vernehmen geben wollen, wie dass Ich nunmehro vor nöthig finde, dass Dieselbe dortiger Orten einigen Anfang machen, durch ein oder ander Demonstrationes oder einige Bewegung derer dasigen Truppen denen Sachsen Inquiétudes zu geben, jedoch ohne dass Ew. Liebden noch zur Zeit etwas Reelles unternehmen, noch die Truppen wirklich in Marsch setzen. In wenigen Tagen gedenke Ich Liebden zu schreiben, wie Meine Sachen stehen, und was alsdann dort wirklich zu thun sein wird, indessen Dieselbe durch allerhand, je-