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P. S.

Wegen des Renforts, so Ew. Liebden unter Commando des Generallieutenants Gessler schicke, ist Meine Intention, dass derselbe seinen Marsch durch die Lausnitz, und zwar vor der Hand ohne Hostilität zu begehen, jedoch dass er die erforderliche Subsistance auf dem Marsch sich reichen lasse, nach Ew. Liebden zu fortsetze. Kommet es dann zu einem Frieden, so ist dieser Marsch nur als ein Durchmarsch, so die Regimenter nach ihren Quartieren thun, anzusehen, worüber man demnächst schon conveniren wird. Ew. Liebden werden also gedachten Generallieutenant Gessler davon auf alle Wege schleunigst avertiren, auch dahin sehen, dass derselbe auf solchem Marsch alle diensame Mesures nehme, um nicht affrontiret werden zu können. Wann auch Ew. Liebden en chiffre an den Generallieutenant von Gessler schreiben wollen, kann solches nach Dero Chiffre geschehen, da dieser eine Abschrift davon mitbekommen hat. Ich glaube, dass es gut sein würde, wenn Ew. Liebden wegen des Marsches des Gesslerschen Corps durch die Lausnitz mittelst eines Trompeters oder Estafette an den Herzog von Weissenfeis schrieben, ohne jedoch demselben von der wahren Ursache, warum eigentlich die Hostilitäten suspendiret worden, das geringste zu eröffnen. Ich reposire Mich darunter auf Ew. Liebden allzeit gute Dispositiones. Friderich.

Nach der Ausfertigving im Herzogl. Archiv zu Zerbst.


1981. AUX MINISTRES D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS ET DE BORCKE A BERLIN.

Podewils und Borcke berichten, Berlin 31. August: „Votre Majesté aura vu par les dernières lettres de Francfort avec quelle précipitation on y veut procéder à l'élection, dont le parti contraire paraît vouloir fixer le terme au 22 de septembre ... Si donc la cour de Vienne ne devait point consentir vers ce temps-là à la convention d'Hanovre.....il n'y aura point d'autre parti à prendre pour Votre Majesté que de faire retirer Ses ministres de Francfort vers le terme de l'élection, après avoir insinué à l'électeur de Mayence une bonne et due protestation contre toutes les illégalités de la diète d'élection et l'élection même, et Se réserver Ses droits. Voilà ce que nous croyons que l'Électeur palatin fera aussi de son côté, et tout cela n'empêche pas que Votre Majesté et ce Prince ne puissent tôt ou tard, en Se réconciliant avec la

Camp de Semonitz, 7 septembre 1745.

Je suis, tout-à-fait de votre sentiment par rapport aux instructions à donner à mes ministres à Francfort, selon que vous me l'avez proposé dans votre relation du 31 d'août passé. La cour de Vienne, n'ayant point jusqu'ici, du moins autant que j'en sais, consenti à la convention secrète conclue à Hanovre le 26 d'août dernier, ne s'est mise en devoir d'en exécuter les articles par la cessation des hostilités ni en Bohême, qui vont leur train ordinaire, ni en Silésie, où ses troupes légères continuent à exercer toutes les hostilités possibles, ni n'a donné des