<7> à mes ministres, et qui roulent sur la facilité qu'ils se flattent de trouver à faire leur paix avec nos alliés et de me sacrifier à leur jalousie, leur haine et leur vengeance. Mais on sait à peu près le cas qu'il faut faire de semblables misères, et mes ministres ont ordre de recevoir de pareils avis avec mépris et d'y répondre avec hauteur.

Ma situation présente est telle que la Haute-Silésie et le comté de Glatz sont inondés de quelques vingtaines de mille Hongrois, et que j'ai fait rassembler des troupes pour déblayer le pays et pour le purger de cette race infâme. J'en attends l'événement, ce qui décidera en quelque façon de l'ouverture de la campagne prochaine. Je réitère encore mes instances à Votre Majesté pour qu'Elle daigne prendre les mesures les plus justes et vigoureuses pour le maintien de la Bavière et pour le renforcement de Son armée du Bas-Rhin. Ces deux points me paraissent capitaux dans le moment présent, et ce ne sont pas des échecs médiocre qui peuvent nous y arriver, mais le dérangement de toutes nos mesures présentes et même de celles pour la campagne qui vient. Je m'aperçois avec regret de la longueur de ma lettre, j'en demande excuse à Votre Majesté, La priant de me croire à jamais etc.

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


1681. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Der Legationssecretär Beck berichtet, in Vertretung des kranken Grafen O. Podewils, Haag 5. Januar: „Presque tous les régents que j'ai vus depuis quelques jours, ont commencé d'eux-mêmes à parler des affaires publiques, en me demandant s'il n'y avait pas moyen de parvenir à la pacification .... Le pensionnaire Alewyn me dit qu'il avait représenté à plusieurs régents qui pensaient qu'il fallait travailler à la pacification générale, qu'il vaudrait mieux de commencer par celle d'Allemagne, laquelle étant faite, celle d'Italie s'en suivrait, pour ainsi dire, d'elle-même.“

Berlin, 11. Januar 1745.

Es soll ihm mit der ersten Post geantwortet werden, dass alles ganz gut sei, aber mit dem Reden vom Frieden wäre es nicht ausgerichtet, und wenn die gutgesinnten Staaten nicht mehr thun wollten, als im Haag promeniren und sprechen, so würde sobald noch kein Friede werden.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


1682. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Berlin, 12. Januar 1745.

Der König befiehlt, Andrié anzuweisen, „dass er fleissig dran sein und continuaren sollte, alle diejenige Insinuaciones dem neuen Ministerio zu thun, welche zu thun er chargiret worden, wie er denn zugleich“