<71> étant de mettre en œuvre dans cette crise tous les ressorts imaginables pour semer la division entre les puissances unies par le traité de Francfort et les porter plus aisément à s'en détacher l'une après l'autre. On veut même savoir de très bonne part que la reine de Hongrie a donné ordre à ses généraux en Bavière de s'abstenir de toute hostilité, aussi longtemps que l'espérance d'un raccommodement entre elle et l'Électeur ne serait pas absolument évanouie. C'est pourquoi vous devez être bien en garde à tout ce qui se passera pendant le séjour que le comte Loss fera à Munich.

Federic.

Nach dem Concept.


1742. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Klinggräffen berichet, München 20. Februar, in Betreff des Gerüchtes von Friedensverhandlungen zwischen den Höfen von München und Wien:1 „Chavigny et moi, dans une pareille situation, avons cru ne pouvoir aller plus sûrement que de puiser par nous-mêmes dans les véritables sources: c'était de l'Empereur immédiatement, qui ne nous a jamais dit une chose pour une autre.“ Klinggräffen beruft sich darauf, dass er am 19. Januar berichtet habe: „Que je ne répondais pas de ce Prince s'il se voyait obligé encore nue fois d'abandonner sa capitale. . . . Je sais bien que peu de jours avant la mort de ce Prince, lorsque le maréchal de Seckendorff lui annonça d'une manière assez crue que Neumarkt était rendu et en même temps qu'il ne devait pas compter de rester quinze jours à Munich, l'Empereur n'était rien moins que tranquille, et que cette idée de devoir quitter sa capitale, dans l'état douloureux où il se trouvait, a de beaucoup accéléré sa mort, fait qu'il a depuis presque tous les jours fait connaître à son premier médecin Wolter. Je n'ignore pas que le maréchal de Seckendorff s'est souvent servi de ce moyen, pour faire peur à l'Empereur de devoir abandonner Munich, pour l'engager à un accommodement.“ Auch der Bischof von Würzburg sei für einen Vergleich thätig.

Desgl. München 23. Februar: Si la retraite du maréchal de Maillebois continuait jusqu'à passer le Rhin, il serait presque décidé que l'Association des

Berlin, 4. März 1745.

„Wegen der einliegenden Relation vom Herrn Geheimen Rath Klinggräffen haben Se. Königl. Majestät allergnädigst befohlen, dass demselben geantwortet werde, dass wenn auch der Churfürst endlich wegen des mollen Betragens von Frankreich gezwungen sein sollte, auf seine Convenienz zu gedenken, er wenigstens doch solches nicht sonder Communication mit den frankfurter Unirten thun und ohne deren Participation über keinen Vergleich conveniren werde.“

Chambrier in Paris soll aufgetragen werden, „dass er bei dem dortigen Ministerio sehr darüber doliren sollte, dass der Maillebois sich zurückgezogen hätte und sich vielleicht noch weiter zurückziehen würde, und dass solches nicht nur bereits nach Einhalt des Klinggräffen schen Berichts sehr üblen Effect thäte, sondern, daferne der Maillebois noch weiter zurückginge, die Unirten der Frankfurter Union leicht ganz und gar auseinander zu gehen gezwungen sein könnten.“

Eichel.



1 Vergl. oben Nr. 1719 S.