<93> Vigueur zu agiren anfingen, um dadurch Sr. Königl. Majestät einige Luft zu machen, damit Sie nicht von der ganz überlegenen Macht der Feinde accabliret oder gezwungen würden, zu allem, was die Feinde von Frankreich von Sr. Königl. Majestät nur verlangen würden, die Hände zu bieten, welches denn am Ende die Kron Frankreich selbst in die embarrassantesten Umstände setzen und in die grösseste Verlegenheit bringen würde. Diese Dépêche soll citissime an den Chambrier abgehen . . .

Es haben . . . des Königs Majestät mir noch sogleich befohlen, Ew. Excellenz in Höchstderoselben Namen zu melden, dass Sie mit dem baierischen Minister von Spon sprechen, auch den von Klinggräffen schleunigst instruiren möchten, bei dem bairischen Hofe auf das ernstlichste zu insistiren, dass die Armee sich dorten zusammenziehen und, um den Feind durch mehrere Diversions zu occupiren, mit denen Operationes den Anfang machen möchte, sonsten Se. Königl. Majestät vor nichts repondiren könnten . . .

Ew. Excellenz soll ferner melden, dass, da verlauten will, ob wollten die Sachsen einige neue in Polen geworbene Truppen nach Sachsen kommen lassen, Ew. Excellenz auf diesen Punkt alle Attention mit nehmen und solche Mesures fassen möchten, dass wenn die Sachsen dergleichen intendirten, Se. Königl. Majestät in Zeiten davon, es sei durch den p. Hoffmann in Warschau oder wie es sonsten wollte, informiret werden möchten, um Dero Mesures nehmen zu können, denen in Polen neu geworbenen Truppen den Durchzug nach Sachsen durch Schlesien oder Dero Landen zu hindern.“

Eichel.

Auszug aus der Ausfertigung.


1763. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE BEESS A DRESDE.

Beess berichtet, Dresden 20. März: „Votre Majesté sera sans doute informée par Ses ministres en Pologne qu'un juif, nommé Baruch, pourvoyeur de la maison du comte de Brühl, avait fait certaines ouvertures à M. de Wallenrodt, touchant les avantages que la cour d'ici demandait de se procurer, au cas qu'elle se joignît à celle de Bavière, pour faire valoir de concert leurs prétentions sur la succession d'Autriche, et Votre Majesté sait aussi comment le ministère saxon fit usage de cet artifice pour apaiser les mécontentements du ministre d'Angleterre. C'est apparemment dans une semblable intention, et pour engager la cour de Vienne à répondre plus favorablement qu'elle ne l'a fait jusqu'ici aux propositions du comte

Neisse, 29 mars 1745.

Le contenu de la relation que vous m'avez faite en date du 20 de ce mois, n'a pas laissé de me surprendre tellement que je ne sais pas encore ce que j'en dois penser. J'approuve fort la conduite que vous avez tenue sur ce sujet, et en cas que le comte de Brühl doive actuellement demander à avoir une entrevue avec vous sur ce chapitre, mon intention est que vous deviez vous y prêter sans hésiter, et, en flattant au possible ledit comte, sans pourtant m'engager à quelque