1861. A L'ÉLECTEUR DE BAVIÈRE A MUNICH.

Quartier de Camenz, 26 mai 1745.

Monsieur mon Cousin. Je viens de recevoir la lettre que vous m'avez écrite en date du ier de ce mois. Je plains de tout mon cœur les circonstances fâcheuses où Votre Altesse Électorale S'est trouvée actuellement, mais je souhaite qu'Elle n'ait pas lieu de regretter le parti qu'Elle vient de prendre.

Je suis avec bien de l'estime, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse Électorale le très bon cousin

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.