<167> die altern Tractate auf,1 und wäre überdem Sr. Königl. Majestät nicht wohl anzumuthen, dem wienerschen Hofe zu Gefallen einen neuen Krieg anzufangen.

Uebrigens liessen des Königs Majestät an Ew. Excellenz bestens recommandiren, den Andrié von allem wohl au fait zu setzen und demselben deutlich vorzuschreiben, wie er sich deshalb gegen Mylord Harrington expliciren und über das ganz neu und übel ausgedachte Ansinnen des wienerschen Hofes beschweren sollte.

Dieses ist von Wort zu Wort, was des Königs Majestät mir befohlen haben, an Ew. Excellenz sogleich zu vermelden.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


2315. AU MINISTRE D'ÉTAT BARON DE MARDEFELD A SAINT-PÉTERSBOURG.

Potsdam, 26 août 1746.

J'ai bien reçu la dépêche que vous m'avez faite en date du 9 de ce mois. Je crois moi-même que le comte de Woronzow, qui est passé à Memel le 15 de ce mois, trouvera à son retour à Pétersbourg les constellations bien changées, et qu'il lui faudra du temps avant que de regagner le haut du pavé; aussi ne crois-je point qu'après l'éclat qui s'est passé par rapport à vous, il pourra ni ne voudra effectuer ce qu'il s'est proposé à votre égard; ainsi donc vous ne devez point compter là-dessus, mais faire plutôt incessamment tous vos arrangements, afin que vous puissiez partir de Pétersbourg, dès que votre successeur, le comte de Finçkenstein, y arrivera. Quant au mémoire à présenter sur la garantie de la Russie,2 vous pouvez le faire présenter par le sieur Warendorff après l'arrivée du comte Woronzow, sans attendre celle du comte Finckenstein. Au surplus, vous devez cultiver fort soigneusement les bonnes dispositions où se trouve actuellement milord Hyndford à mon égard, et l'y entretenir par tous les moyens possibles.

Federic.

Nach dem Concept.


2316. AU SECRÉTAIRE HEUSINGER A COPENHAGUE.

Potsdam, 28 août 1746.

J'ai reçu votre relation du 20 de ce mois. Souhaitant d'être instruit sur quelques circonstances qui regardent le personnel du nouveau



1 In der preussischen Antwort vom 16. September heisst es über diesen Punkt: Durch die Restriction des Artikels 8 des dresdner Friedens seien eo ipso diejenigen Verbindungen aufgehoben, „worin das Königl. Churhaus Preussen und Brandenburg ehedem in Ansicht der Garantie der Pragmatischen Sanction getreten und wovon ohnedem dem Kaiserl. und Königl. Ungarischen und Böhmischen Ministerio die Umstände und Conditiones, wie auch die damals darüber ausgestellte kaiserliche Declaration, nicht unbekannt sein können.“ Vergl. S. 185. 259. 26S. 272 und Bd. I, 159. 160.

2 Vergl. S. 36. 50.