<229>dann religieux halten würde, nur im geringsten conform sei. Uebrigens, da Ich doch zu wissen wünsche, woran Ich sei, so verhoffe, von dem Herrn Grafen bald einige Antwort zu erhalten, und verharre mit besonderer Estime und Wohlwollen des Herrn Grafen wohlaffectionirter

Fr.

Nach der Ausfertigung im Königl. Hauptstaatsarchiv zu Dresden.


2406. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS A BERLIN.

Potsdam, 9 novembre 1746.

Mon cher Podewils. Pour vous répondre à ce que vous m'avez appris des insinuations que le comte de Bernes vous a faites par ordre de sa cour sur les bruits qui avaient couru d'un armement en Bohême et en Moravie, je vous dirai que, lorsque l'occasion se trouvera de vous entretenir encore avec lui à ce sujet-là, vous devez lui dire que, quoique de pareils bruits eussent couru, je n'en avais pas été embarrassé, sachant trop bien à quoi me tenir là-dessus, et qu'il pourrait être assuré que, si même sa souveraine faisait effectivement marcher des troupes en Bohême ou en Moravie, cela ne me donnerait aucun ombrage ni m'inquiéterait en aucune façon. Sur quoi, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


2407. AU CONSEILLER DE LÉGATION D'AMMON A LA HAYE.

Potsdam, 12 novembre 1746.

Vous me marquez de savoir d'une personne bien instruite que l'entreprise des Anglais sur les côtes de Bretagne a été projetée par le lord Granville, contre les sentiments des Pelham, qui par cette raison l'avait fait échouer C'est apparemment une conjecture hasardée sans fondement, mais ma curiosité est de savoir jusqu'où ledit lord Granville peut avoir encore de l'influence dans les affaires de l'Angleterre; ce que vous tâcherez d'approfondir le mieux que vous pourrez. Au reste, on a tout lieu de croire que le congrès de Breda n'aboutira à rien.

Federic.

Nach dem Concept.


2408. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS, ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE, A VIENNE.

Potsdam, 12 novembre 1746.

Les relations que vous m'avez faites en date du 29 d'octobre passé et du 2 de ce mois, m'ont été apportées à la fois par la poste dernière. Je suis bien content de tout ce que vous avez répondu au sieur Robinson dans le long entretien que vous avez eu avec lui au sujet de la garantie de l'Empire du traité de Dresde, et les sentiments