<72> les droits du Prince. Enfin, que si le susdit cas venait à arriver à présent, il faudrait le considérer comme un malheur assez singulier.

Federic.

Nach dem Concept.


2207. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 25. April: Rudenschöld et Beckers „ont reçu des ministres de leurs cours en France la nouvelle que le traité de subsides avec la Saxe est fait et conclu. Le sieur de Grävenbroich, ministre palatin en France et fort au fait des affaires de cette courlà, mande à Beckers que le subside annuel que la France ferait payer à la Saxe pour plusieurs années, était fixé à 400.000 écus, argent d'Allemagne, ou 1,500,000 milles livres de France … Wulwfenstjerna mande aussi de Dresde qu'il ne faut plus douter de la conclusion de ce traité.“

Potsdam, 26. April 1746.

Es ist Mir sehr lieb, eine so gute Zeitung zu vernehmen, welche vor uns überall hoffentlich von einem sehr guten Effect sein wird.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


2208. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A DRESDE.

Potsdam, 27 avril 1746,

Après avoir vu ce que vous me mandez par la relation que vous m'avez faite le 23 de ce mois, touchant les nouvelles propositions qui vous ont été faites par le comte de Hennicke par rapport au million qui me doit être payé à la prochaine foire de Leipzig, savoir qu'on paierait, au terme fixé, le million en entier dans une seule somme avec les intérêts, mais qu'on souhaitait qu'en même temps, en me payant les intérêts d'avance, je voulusse prêter la somme de 200,000 écus pour un an. pour lesquels on me remettrait des Steuerscheine, payables à la foire de Leipzig 1747 après Pâques, outre une obligation sous la main du Roi, par laquelle ce Prince confesserait que cet argent a été employé pour le bien de pays, — je veux bien vous dire que, quoique cette proposition altère en plusieurs façons les arrangements que j'ai actuellement faits de cet argent-là, néanmoins, en considération du roi de Pologna, et pour le convaincre de l'attention que j'ai pour tout ce qui peut lui faire plaisir, autant qu'il dépendra de moi, je veux me prêter aux propositions susdites, toujours cependant à condition que ce Prince me donne les sûretés que le comte de Hennicke a offertes. Je donnerai aussi mes ordres pour que cette affaire soit réglée en conséquence. Cependant, ma volonté est que vous deviez tâcher à être pré-