<371> Russie, avant que de se décider sur la demande que le baron de Scheffer leur a faîte.

Federic.

Nach dem Concept.


4299. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE PODEWILS, ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE, A VIENNE.

Potsdam, 9 mai 1750.

Il ne saurait être aucunement douteux que la cour où vous êtes ne soit informée de la déclaration de la France dont vous parlez dans votre rapport du 28 d'avril dernier, savoir qu'en cas de guerre dans le Nord elle opérerait aux Pays-Bas et par voie de diversion, la France ayant fait réitérer plus d'une fois ladite déclaration au ministre anglais à Paris, et c'est aux déclarations vigoureuses de la France que se rapporte l'embarras où se trouve la cour d'Angleterre et dont je vous ai informé d'une manière circonstanciée par mes dépêches et rescrits antérieurs.

Il peut au reste d'abord, ce me semble, nous suffire que l'Angleterre ait été mise dans une espèce d'appréhension par là.

Federic.

Nach dem Concept.


4300. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 8. Mai, über einen von Tyrconnell mitgetheilten Bericht Lemaire's aus Kopenhagen, laut dessen der dänische Minister Berckentin den Vorschlag Frankreichs zu einer preussisch-dänischen Collectiverklärung an Russland1 nicht ganz von der Hand gewiesen, es indess als wünschenswerth bezeichnet hat, zuvor den Erfolg der Vorstellungen des Grafen Lynar in Petersburg abzuwarten: „Que, de plus, il lui paraissait, à lui Berckentin, que la nouvelle déclaration ne renfermait au fond rien au delà de ce que Sa Majesté Prussienne avait déjà fait déclarer à la cour de Pétersbourg;2 qu'il ne convenait pas, selon l'avis de celle de Danemark, de multiplier les déclarations ni d'y rien glisser qui pût avoir l'air d'une menace.“

Potsdam, 9. Mai 1750.

Das ist ganz gut; das hat man uns schon aus Kopenhagen geschrieben. Im übrigen müssen dem p. von Voss zu Kopenhagen posttäglich die communicablen Nouvellen, so wir aus Russland kriegen, geschrieben werden, damit er dem Abbé Lemaire, wie solcher darum gebeten, davon Communication thun könne.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. S. 315.

2 Vergl. S. 278.