4296. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

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Warendorff berichtet, Petersburg 21. April: „La cour reçut ces jours passés un courrier de Constantinople. Les lettres particulières dont il a été chargé en même temps et qui sont du il mars passé, ne doivent porter autre chose, sinon que le Mufti avait été comblé de présents par les habitants de ladite ville, pour le dédommager de la perte qu'il y a faite dans le dernier grand incendie; et que d'ailleurs il régnait une parfaite tranquillité à la cour ottomane; mais je présume que le sieur Neplujew a

Potsdam, 6. Mai 1750.

Auf allergnädigsten Befehl Sr. Königl. Majestät habe Ew. Excellenz vermelden sollen, wie Dieselbe den französischen Minister Grafen Tyrconnell die letztere Passage aus der heut eingelaufenen ordinairen Relation des Herrn Warendorff, welche sich anfanget: „La cour reçut ces jours passés un courrier de Constantinople p.,“ bis zum Ende der

marqué par le même courrier un trait dont j'ai cru devoir faire mention ici; c'est que j'apprends qu'on débite ici que Votre Majesté faisait sonder la Porte Ottomane, par le canal des ministres de France et de Suède qui s'y trouvent, si cette cour ne jugeait pas à propos que Votre Majesté lui envoyât un ministre pour y résider de Sa part. Je n'ai pas marqué de traiter cette nouvelle comme entièrement fausse et controuvée.“

Relation aus dem dechiffrirten Original selbst lesen lassen möchten. Wobei Ew. Excellenz melden soll, wie Se. Königl. Majestät solches in der Absicht thäten, damit der französische Hof sehen könne, wie weit die beiden kaiserlichen Höfe in die Sachen der Pforte penetrirten und wie viel Ascendant sie auf solche hätten.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.