4310. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 15. Mai: „Nous avons l'honneur de présenter ci-joint à la censure de Votre Majesté un projet de réponse au dernier mémoire de la cour de Vienne, concernant la garantie de l'Empire pour le traité de Dresde.375-1 L'auteur de ce mémoire y ayant glissé divers reproches de prétendues contraventions des traités de paix, relatives aux arrangements intérieurs de la Silésie, nous avons jugé nécessaire, pour nous assurer de l'exactitude des dates, de communiquer préalablement la réfutation de ces articles au comte de Münchow, qui l'a pleinement approuvée.“

Potsdam, 16. Mai 1750.

Ganz gut. Die vornehmste Sache aber ist, dass dem österreichischen Hof unter die Nase gerieben werde, dass sie sich von schlesischen Sachen gar nicht mehr zu meliren haben, sondern erkennen müssen, dass solche lediglich von Meiner Souveraineté abhängen. Denn was den Artikel von der katholischen Religion anlanget, so setzet der Breslauer Friede nur allein darunter Maass und Ziel.375-2

Mündliche Resolution. Mach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



375-1 „Antwort auf die Schrift des Kaiserl. und Königl. Ungarischen und Böhmischen Hofes vom 2. Martii 1750 (vergl. S. 301 Anm. 1) die Reichsgarantie betreffend“ ; die Ausfertigung trägt das Datum Berlin 20. Mai 1750.

375-2 Bd. II, 237.