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Votre Majesté, conformément à Ses déclarations précédentes, ne ferait nulle difficulté de faire renouer les conférences pour la liquidation des dettes silésiennes, et qu'aussitôt que Votre Majesté Se déclarerait favorablement sur ce chapitre, l'Impératrice-Reine ne tarderait point d'envoyer un autre commissaire à Breslau à la place de Seyferth.1

Deroselbenseits alles contribuiren; wannenhero Sie nur bäten, dass weil in dem nächstkommenden Monat December Dero Etatsminister Graf von Münchow ohnedem nach Berlin kommen würde, die Kaiserin-Königin belieben möchte, jemanden der ihrigen, der impartialisch und nicht präveniret sei, dahin zu autorisiren, auf dass man mit demselben allda amiablement über gewisse Principia regulativa dieserhalb conveniren könne, wozu Se. Königl. Majestät alle nur möglichste Facilité beitragen würden.

Eichel.

Diest berichtet, Köln 16. October: „On a reçu quelques avis de Mergentheim qui commencent de révoquer en doute si Son Altesse Électorale se rendra à Munich. On remarque que les affaires paraissaient avoir pris un autre pli, et que Son Altesse Électorale n'aimerait pas s'exposer à des propositions qu'elle prévoit qu'on lui ferait à la cour de Munich avec tant d'empressement qu'elle ne saurait se tirer d'affaire qu'avec chagrin.“

P. S.

Noch haben Se. Königl. Majestät befohlen, Ew. Excellenz zu vermelden, wie Höchstdieselbe vor gut finden, dass dem Lord Tyrconnell auch dasjenige zum Lesen communiciret würde, was der von Diest in der beikommenden Relation über das Sujet des Churfürsten von Köln und wegen dessen rückgängig gewordenen Reise nach München gemeldet, damit gedachter Mylord die Suite2 derer Nachrichten, welche Se. Königl. Majestät desfalls zugekommen, daraus selbst sehen und seinen beliebigen Gebrauch davon machen könne.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


4578. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.

Prinz Ferdinand von Braunschweig berichtet, Braunschweig 19. October: „J'ai fait les ouvertures au Duc, mon frère, de bouche de ce dont Elle avait daigné me charger pour lui.3 Le Duc, mon frère, a été pénétré et touché au possible des gracieuses intentions de Votre Majesté sur son sujet, mais en même temps il m'a enjoint qu'il demandait de pouvoir y réfléchir bien mûrement, avant qu'il pût donner une réponse catégorique et finale.“

Potsdam, 22 octobre 1750,

Monsieur mon Cousin. C'est avec toute la satisfaction possible que j'ai vu, par la lettre que vous avez bien voulu me faire du 19 de ce mois, votre heureuse arrivée à Brunswick, et les nouvelles que vous m'y avez marquées, m'ont fait un plaisir infini. Je ne laisserai pas



1 Vergl. S. 94.

2 Vergl. 103. 110.

3 Vergl. S. 102.