<269> sollte der Herr von Maltzahn sich in Conformité seiner letzthin erhaltenen Ordre expliciren.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


4793. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils übersendet, Berlin 13. Februar, ein Schreiben des Freiherrn von Keller, d. d. Stedten 3. Februar, betreffend die in Gotha einzuleitende Subsidienverhandlung.1 „Je l'ai laissé lire à milord Tyrconnell... et comme il m'a dit que sa cour était en négociation avec l'électeur de Cologne pour un traité qui pourrait bien absorber tout ce que la France avait destiné pour celui de Gotha, Votre Majesté, à qui ce ministre en avait fait part, avait trouvé Elle-même convenable2 que, dans l'incertitude du succès de cette négociation avec l'électeur de Cologne, il fallait allonger celle avec Gotha, sans la rompre... Mais milord Tyrconnell m'a dit que sa cour était du sentiment qu'on pourrait toujours, malgré la négociation avec la cour de Cologne, négocier et conclure avec le margrave de Baireuth un traité de subsides pour 1,500 hommes, sur le pied de celui fait avec le duc de Brunswick, c'est-à-dire 25,000 écus pour 1,000 hommes en temps de paix et le triple en temps de guerre.“

Potsdam, 14. Februar 1751.

Wegen der gothaischen Tractaten kann er nur alles machen, wie es Mylord Tyrconnell haben will.

Wegen Baireuth will Ich wohl schreiben lassen und zweifele Ich fast nicht, dass sie es annehmen werden, ob Ich schon noch einige Beisorge habe, dass sie sich dadurch exponiren dörften.

Mündliche Resolution Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


4794. A LA MARGRAVE DE BAIREUTH A BAIREUTH.

[Potsdam], 14 février 1751.

Ma très chère Sœur. J'ai l'honneur de répondre à deux lettres que vous avez eu la bonté de m'écrire. Je fais copier actuellement le Mithridate de Graun, que j'aurai l'honneur des vous envoyer, dès qu'il sera transcrit. Je suis charmé d'apprendre de bonnes nouvelles de votre santé et je souhaite de tout mon cœur qu'elle continue de même.

Je suis chargé, ma chère sœur, de faire au Margrave une offre de la part de la France; c'est à lui à savoir si elle lui conviendra ou non. Je vous prie de la lui dire et de le prier en même temps d'y penser et de faire faire par vous une réponse dans laquelle je n'exige ni complaisance ni contrainte. Il s'agit d'un traité à faire avec le Margrave par lequel il s'engagerait à ne point voter dans l'Empire contre la France, nous et nos alliés, et à fournir 1,500 hommes moyennant un



1 Vergl. S. 207.

2 Vergl. S. 262. 263.