<342> de mes sujets, afin de ne pas souffrir par un pareil échec, vu la prérogative qui leur était due d'être payés préférablement à tous autres créanciers.

Federic.

Nach dem Concept.


4907. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein überreichen, Berlin 24. April, ein Promemoria des chursächsischen Ministeriums [Dresden 17. April] mit neuen Vorschlägen in der Angelegenheit der Steuerscheine: sofortige Einlösung der Ende 1745 im Besitz preussischer Unterthanen gewesenen Scheine und „billigmässiges Abkommen“ wegen Bezahlung der übrigen Scheine.

„En même temps le comte Tyrconnell nous a fait entendre qu'étant de nouveau1 expressément chargé de la part du marquis de Puyzieulx d'employer du mieux ses bons offices pour accommoder les affaires des billets de la Steuer, il hésitait d'autant moins de recommander les nouvelles propositions de la Saxe à une décision favorable de la part de Votre Majesté qu'EIle sentait suffisamment qu'il était absolument impossible aux Saxons d'acquitter à la fois, à la foire prochaine, tous les billets échus qui se trouvaient dans les mains de Ses sujets; que d'ailleurs il ne doutait point que quantité de ceux-ci, étant assurés du payement régulier et exact des intérêts, ne fussent très contents de ne recevoir celui des capitaux que quelques années plus tard que ne le portent les billets, et dans les termes dont on conviendrait avec les Saxons; qu'en conséquent, en S'arrangeant avec les Saxons sur les termes des payements et sur la somme des capitaux au delà desquels il n'en serait plus reçu au bénéfice de la prérogative, Votre Majesté y trouverait également Son compte et celui de Ses sujets.

Nous ne pouvons pas disconvenir de la solidité de ces considérations, surtout si par ce moyen on peut obtenir des Saxons l'aveu de la prérogative à l'égard de tous les billets que les sujets de Votre Majesté ont déjà dénoncés ou pourront encore dénoncer avant la dénomination de la somme.“

Potsdam, 25. April 1751.

Ich wünschte zum Besten des Publici, dass sie selbst noch Steuerscheine einzufordern hätten, so würden sie sich vermuthlich der Sache mit mehrerem Nachdruck annehmen. Ich werde Mich niemalen auch nur auf eine Linie von dem buchstäblichen Einhalt des Dresdenschen Friedenstractats écartiren und nicht mehr noch weniger verlangen, sonsten es nicht der Mühe gelohnet haben würde, den Tractat zu machen.

Dieses letztere können sie auch mit einer guten und convenablen Art an Mylord Tyrconnell sagen.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. S. 309.