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landen nicht mehr anerkennt und von diesem Standpunkte aus anderweite Vorschläge zur Regelung dieser Handelsbeziehungen macht.

nach Breslau zurückgekommen sein wird, welches zu Anfang des nächstkommenden Monates geschehen dörfte; alsdenn muss ihm alles communiciret und dessen umständlicher Bericht und Sentiment darüber erfordert werden, um obgedachten von Dewitz hernach zu bescheiden.

Inzwischen aber und bis dieses geschehen kann, muss nicht vergessen werden, die chicaneuse Interpretation der Oesterreicher von dem einen Articul des dresdenschen Friedensschlusses in Égard des im breslauschen Tractat stipulirten Status quo sehr solide und convenable zu refutiren und den Unfug davon ihnen ganz trocken und klar zu zeigen; welches noch vorher und ehe der Graf Münchow zurück nach Breslau kommet, geschehen und so solide ausgearbeitet werden muss, dass man solches hiernächsten nach Frankreich und andern Höfen, wo es nöthig, communiciren kann.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


5020. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.

Potsdam, 20 juillet 1751.

Vos deux rapports du 6 et du 9 de ce mois me sont entrés à la fois, et ce que j'ai de principal à vous dire à présent, est que vous devez être extrêmement attentif sur le changement qu'il y aura dans les affaires qui pourront être aucunement relatives à celle de l'élection d'un roi des Romains, afin de m'en pouvoir faire vos rapports bien exacts et détaillés.

Federic.

Nach dem Concept.


5021. AU CHAMBELLAN D'AMMON A COMPIÈGNE.

Ammon berichtet, Paris 8. Juli: „J'envoie ci-joint à Votre Majesté un projet pour l'extension de la Compagnie Asiatique d'Emden et pour la création d'une marine, sans laquelle cette compagnie ni aucun commerce ne pourront jamais être établis d'une manière stable... Il a été formé par l'homme du monde qui entend le mieux ces parties et qui est le plus en état de les mettre en exécution; c'est le sieur Labourdonnaye, connu par les beaux établissements qu'il a faits aux îles de France et de Bourbon, par la prise de Madras et par la persécution qu'il a essuyée de la part des ministres qui soutenaient le sieur Dupleix.“

Potsdam, 20 juillet 1751.

J'ai bien reçu les dépêches que vous m'avez faites des 8, 9 et 10 de ce mois. Je vous sais bon gré de toutes les précautions sages que vous avez prises à l'occasion du décès de mon ministre baron Le Chambrier pour la sûreté de ses archives d'ambassade, et je laisserai le soin de ce qui reste à faire à cet égard, à mes ministres du département des affaires étrangères, jusqu'à ce que je trouve bon de nommer un ministre pour succéder à feu Le Chambrier.