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Stades que le comte de Flemming rapporte de rencontrer. Les Anglais promettent à la vérité un subside de 40,000 livres sterling, mais la cour d'ici prétend que l'Angleterre doit s'engager d'y ajouter 20,000 livres sterling de la part des Hollandais. Cependant, comme on a trop besoin d'argent, on a résolu de conclure avec les Anglais, quand même les Hollandais n'y voudraient point concourir, et qu'en conséquence on s'engagera aux mêmes conditions qui faisaient le traité avec la France,1 promettant en outre de donner, sur une réquisition ultérieure, un corps de troupes proportionné aux subsides qu'on offrira alors. Quant à l'accession au traité de Pétersbourg et à la voix en faveur de l'archiduc Joseph, on n'a pu me dire rien de précis à cet égard, m'assurant seulement qu'on n'était pas d'accord là-dessus, et que ces deux traités se traitaient actuellement.“

Herr von Maltzahn zu Dresden in seinem gestern angekommenen Bericht vom 24. dieses wegen der Negociation des Chevalier Williams mit dem dresdenschen Hofe gemeldet hat, informiret sein möchte; Dahero Sie verlangeten, dass Ew. Excellenz solches gedachtem Mylord Tyrconnell aus dem dechiffrirten Originalberichte mündlich communicireten.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


5028. AU CHAMBELLAN D'AMMON A PARIS.

Potsdam, 27 juillet 1751.

J'ai reçu vos dépêches à la date du 15 de ce mois. Pour ce qui regarde celle que vous m'avez faite immédiatement, vous devez savoir qu'il paraît que vous fassiez une négociation particulière sur une affaire qui ne regarde que votre personnel et qui est tout étrangère à la commission pour laquelle je vous ai envoyé en France. Mais comme cela me déplaît souverainement, je vous ordonne de n'y plus revenir et de vous garder de plus parler à M. de Puyzieulx ni des intrigues du sieur Lefort,2 ni de tout ce qui peut avoir aucun rapport à votre personnel. Soyez assuré que j'ai de bonnes raisons pourquoi je vous fais cette défense, et observez-la exactement.

Federic.

Nach dem Concept.


5029. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÆFFEN A VIENNE.

Klinggräffen berichtet, Wien 17. Juli, über eine Unterredung des Marquis Hautefort mit Dewitz. „Voici donc les paroles de l'Ambassadeur:

»Le comte d'Ulfeld m'a parlé en dernier lieu de votre affaire du commerce;3

Potsdam, 27 juillet 1751.

J'ai tout lieu de savoir bon gré à M. de Hautefort de la confidence avec laquelle il a voulu user envers le sieur de Dewitz, touchant



1 Vergl. Bd. V, 98.

2 Vergl. S. 396. 398.

3 Vergl. S. 410. 413.