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que la Suède sougeât sérieusement à prendre des mesures pour sa défens... Que le seul moyen de fixer le Danemark sur la bonne cause, c'était d'agir avec vigueur et de lui faire voir que, si la Russie attaquât la Suède, Votre Majesté et la France l'assisteraient de toutes leurs forces, et qu'il était même très utile de lui montrer un plan que les deux cours auraient concerté et qu'elles étaient prêtes de mettre en exécution.“

von dem Ministère disponiren könnten, wie wir wollten. Schon über ein Jahr hätten wir darauf poussiret, dass man sich in bessern Defensionsstande setzen möchte, aber auch zur Zeit es nicht dahin bringen können.

Die Ostentations, so die Russen dieses Mal machten, wären keiner grossen Attention werth. Sonsten aber wären Meine Gedanken, dass Frankreich noch Ich eben nicht nöthig hätten, uns nach den Ostentationes der Russen zu reguliren und ein gleiches zu thun, zumal da wir wüssten, dass wenigstens dieses Jahr weder von den Russen noch deren Alliirten etwas zu besorgen sei, zumalen letztere jetzo ihre politique Cabales auf ganz andere Objets, und die hauptsächlich das Reich concernirten, gerichtet hätten. Im übrigen könnte er, p. Voss, par manière de discours dem dänischen Ministerio wohl sagen, auch dem Abbé Lemaire insinuiren ein gleiches zu thun, dass wenn der Cas existiren sollte, wir die Schweden nicht abandonniren würden; welches aber in der Art und in der Absicht geschehen müsste, um dadurch das dänische Ministère in ihren guten Sentiments zu fortifiiren.

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


4449. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION ERNEST-JEAN DE VOSS A VARSOVIE.

Potsdam, 8 août 1750.

J'ai vu par votre rapport du 29 de juillet dernier ce que vous continuez à me marquer relativement à la présente Diète de Pologne, et je serai toujours bien aise d'apprendre que la Diète soit rompue et qu'on ait pu la dissoudre; mais il me reviendra à tout un, pourvu que d'ailleurs il en arrive ainsi, que cela se fasse pendant les premiers jours de ladite Diète ou bien un peu plus tard.

Federic.

P. S.

Ne croyez pas que les motifs du soudain envoi du sieur Williams soient aussi simples et innocents qu'on les représente, ni qu'il n'y ait que de l'ostentation. La cour d'Hanovre s'est prise assez finement à ce sujet; car, sous prétexte que c'était aux instances du-roi de Pologne et à la requisition de la Russie qu'on avait envoyé Williams, afin qu'il y ait un ministre anglais pendant la Diète, il s'agit d'une alliance que ce ministre doit proposer dans le plus grand secret entre le roi d'Angle-