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in Dero Hoffnung von dem Baron von Bernstorff, und dass derselbe durch eine Complaisance auf bessere Sentiments gebracht werden sollte, noch mehr diminuiret haben. Es haben des Königs Majestät mir auch befohlen, den ganzen Umstand dieserwegen an Mylord Maréchal zu schreiben,1 damit er dem Marquis de Puyzieulx darüber sprechen und von demselben vernehmen möchte, ob es an dem sei, dass der dänische Hof dergleichen Declaration an Frankreich thun lassen, da Sr. Königl. Majestät bisher nichts davon aus Dänemark gemeldet worden, sondern Sie diese Nachricht nur aus Wien bekommen hätten. Welches meinerseits zu beobachten nicht unterlassen werde.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


5149. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Klinggräffen berichtet, Wien 13. October: „L'abbe Carpentier,2 se plaignant de ce climat, retournera dans peu en France, enthousiasmé de cette cour et surtout de la sincérité de l'Empereur et de l'Impératrice-Reine dans leurs sentiments pacifiques. Il y a trois jours qu'il a épanché son cœur là-dessus en présence d'un bon ami, savoir que la France était bien heureuse à la fin d'avoir ses yeux dessillés d'un homme comme le marquis de Hautefort, qui avait approfondi les véritables sentiments de l'Empereur et de l'Impératrice-Reine, qui ne respiraient que pour la conservation du repos en Europe, qu'on ne se laisserait plus en imposer en France par des idées fort opposées qu'on avait jusqu'ici cherché de lui insinuer et qu'on continuait encore, qui ne visaient qu'à l'entraîner dans de nouveaux troubles par où d'autres ne cherchaient qu'à s'agrandir. J'y suis tranquille, puisque Votre Majesté est si pleinement persuadée que la France ne pense pas de même;3 sans cela il paraît difficile à concilier que l'ambassadeur de France tienne une conduite si rampante, tandis que la France doit penser autrement, et surtout étant ami de cœur du marquis de Puyzieulx,4 ce qui ferait presque soupçonner que dans le fond on pense peut-êire de même en France, quoiqu'on on affecte d'y être bien sur ses gardes et d'avoir de la fermeté.“

Potsdam, 20. October 1751.

So viel sonsten noch den Umstand anbetrifft, welchen der Herr von Klinggräffen in seiner heutigen Relation von dem Abbé Carpentier und dessen gethanen Aeusserungen gemeldet hat, so wollen Se. Königl. Majestät, dass alles solches dem Mylord Maréchal ganz umständlich geschrieben werden solle, damit derselbe das dortige Ministère und diejenigen, wo es nöthig, darüber präveniren und solchen eine bessere Impression machen, mithin dadurch zuwege bringen könne, dass wenn obgedachter Abbé dorthin käme, ihm in seinen schädlichen Insinuationen nicht geglaubet werden und man schon informiret wäre, dass alles, was dieser desfalls debitiren wollte, nicht wahr sei. Es müsste aber auch zugleich Mylord Maréchal instruiret und ihm die Argumenta an die Hand gegeben werden, welche er denen Insinuationen des Abbé Carpentier entgegensetzen und dadurch jedermann von der wahren Denkungsart Sr. Königl. Majestät und dem Ungrund und übelen Ab-



1 Vergl. Nr. 5153.

2 Vergl. S. 432 Anm. 2.

3 Vergl. S. 463.

4 Vergl. Bd. VII, 129.