<506> ont pas été rendues, quand vous m'avez fait la vôtre du 18 du mois dernier. J'espère qu'elles vous seront encore parvenues, tout comme celles du 19, du 26 et du 30 passé.

Federic.

Nach dem Concept.


5172. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE HÆSELER A COPENHAGUE.

Potsdam, 2 novembre 1751.

Votre dépêche du 26 dernier m'est bien parvenue. Quant à l'affaire de Knyphausen, vous êtes déjà informé que je me suis remis làdessus à la médiation de la France, à la discrétion de laquelle j'ai abandonné cette affaire, pour la diriger en sorte que j'en puisse sortir honorablement. La proposition que d'ailleurs M. Lemaire vous a faite pour ramener à moi le baron de Bernstorff, en lui offrant l'ameublement d'une chambre dans la maison qu'il va bâtir, a toute mon approbation, et s'il veut bien se charger de faire adroitement par son savoirfaire que la chose réussisse, je ne le démentirai jamais. Au surplus, j'approuve parfaitement la réponse que vous avez faite au comte de Moltke dans le dernier entretien que vous avez eu avec lui, et je vous ferai suppéditer d'autres raisons encore pour l'entretenir dans les sentiments que vous lui avez déclarés sur mon sujet.1

Federic.

Nach dem Concept.


5173. AN DIE ETATSMINISTER GRAF PODEWILS UND GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Potsdam, 3. November 1751.

Meine liebe Geheime Etatsminister Graf von Podewils und Graf von Finckenstein. Ihr werdet aus dem Duplicat der von dem Geheimen Rath von Maltzahn zu Dresden unter dem 30. voriges erstatteten Relation und dem beigefügten Promemoria des Grafen Hennicke mit mehrerem ersehen haben, welchergestalt das dresdensche Ministerium sich wegen der Steuerscheine, so in den Händen Meiner Unterthanen seind, expliciren wollen, und dienet Euch zuvorderst zu Eurer Direction deshalb, dass, obschon Ich gedachtem Ministerio frei lassen muss, ratione der sächsischen Unterthanen in dortigen Steuerangelegenheiten nach Gefallen zu disponiren, solches dennoch nicht in Rücksicht auf Meine Unterthanen, so aus der sächsischen Steuer zu fordern haben, geschehen, noch dadurch dasjenige, so zu deren Faveur in dem bekannten Articul des dresdenschen Friedenstractats festgesetzet worden, auf einige Weise entkräftet werden kann.



1 Häseler hatte die Befürchtungen des Grafen Moltke über kriegerische Absichten Preussens zu zerstreuen gesucht.