<78> vous sachiez m'informer exactement de ce que vous en aurez pu apprendre.

Federic.

Nach dem Concept.


4511. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE ROHD A STOCKHOLM.

Neisse, 12 septembre 1750.

J'ai vu par votre dépêche du 28 d'août dernier que vous vous êtes acquitté des représentations que je vous avais ordonné de faire, là où vous êtes, pour accélérer le transport des troupes suédoises en question en Finlande; il dépendra, à l'heure qu'il est, du gouvernement de Suède de faire tel usage qu'il jugera le plus convenable du bon conseil que j'ai cru devoir lui donner à ce sujet, la chose en elle-même pouvant au bout du compte m'être assez indifférente.

Federic.

Nach dem Concept.


4512. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRÄFFEN A CELLE.

Neisse, 12 septembre 1750.

J'ai reçu votre dépêche du 6 de ce mois, et je suis constamment de l'opinion que la cour d'Hanovre, de concert avec celle de Vienne, ne manquera pas, sans qu'il y ait de doute, de faire réussir pour le coup l'élection projetée d'un roi des Romains, et je ne suis pas sans appréhension qu'en cas que l'Électeur palatin se voie contenté en quelque manière, celui-ci ne donne pareillement alors sa voix pour ladite élection.

Federic.

L'on vient de me dire que le roi d'Angleterre doit baisser beaucoup et que sa santé doit devenir extrêmement chancelante. Comme je serais fort curieux d'être informé par vous du vrai de cette nouvelle, vous me ferez un plaisir particulier de me mander au plus tôt possible ce qui en est effectivement.

Nach dem Concept.


4513. AU CONSEILLER BARON LE CHAMBRIER A PARIS.

Neisse, 14 septembre 1750.

J'ai été très aise de voir par votre rapport du 31 d'août dernier que l'affaire du clergé de France1 est traitée là où vous êtes, presque contre toute mon attente, avec une aussi bonne fermeté que l'est à cet égard celle de la cour de Versailles, et je souhaite et j'espère que le roi de France retiendra là-dessus cette même fermeté.

Federic.

Nach dem Concept.



1 Vergl. S. 76.