4501. AU CONSEILLER PRIVÉ DE CAGNONY A MADRID.

Glogau, 4 septembre 1750.

J'ai bien reçu la lettre que vous m'avez faite du 10 du mois dernier, sur laquelle je n'ai qu'à vous dire que, dès que vous serez assuré que toutes vos peines seront perdues et qu'il n'y a plus moyen de rendre raisonnable le ministère d'Espagne, vous devez partir de là le plus tôt le mieux, après avoir témoigné votre mécontentement juste et raisonnable envers les ministres d'Espagne de la façon peu convenable dont ils ont agi envers vous.

Federic.

Nach dem Concept.

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