<212> presque en mêmes termes que vous au lord Marécha1 pour presser le marquis de Saint-Contest d'envoyer au plus tôt au comte de Broglie quelque habile secrétaire qui eût eu déjà occasion de connaître les affaires de Pologne et les intrigues que la cour de Saxe fait jouer ordinairement aux Diètes, d'autant plus que le comte de Broglie était trop neuf dans ces affaires pour ne point donner prise à cette cour artificieuse. Sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


5597. AU LORD MARÉCHAL D'ÉCOSSE A PARIS.

Neisse, 14 septembre 1752.

Je viens de recevoir la dépêche que vous m'avez faite à la date du 1er de ce mois. Comme le chevalier de La Touche m'a fait communiquer dans toute son étendue ce projet d'accommodement entre l'Électeur palatin et la cour de Vienne que le comte Stadion, ministre de Mayence, qui, à ce que j'apprends, a fait l'office de médiateur dans ceci, a remis au baron de Wrede, j'en ai jugé tout pareillement comme M. de Saint-Contest, en conséquence de ce que vous m'en marquez, a fait. Aussi direz-vous à ce ministre-ci que je ne me séparerai en aucune manière du parti que la France avisera de prendre là-dessus. Au reste, je vous sais tout le gré possible des nouvelles instances que vous avez faites à M. de Saint-Contest pour que la négociation du sieur d'Ammon soit terminée, et espère que les assurances qu'il vous a données à ce sujet, seront bientôt réalisées.

Federic.

Nach dem Concept.


5598. AN DEN ETATSMINISTER GRAF MÜNCHOW UND DEN VICEPRÄSIDENTEN VON DEWITZ IN NEISSE.

Neisse, 14. September 1752.

Nachdem Ich die von Euch unterm 13. dieses schriftlich eingesandte Punkte, welche zu Beförderung der Endschaft der Euch, dem von Dewitz, aufgetragenen Negociation in Wien diensam sein möchte, zu Meiner Resolution erhalten, auch deren Einhalt mit mehrerm ersehen und erwogen habe, so ist Euch darauf hierdurch zur Resolution, dass, so viel

Punkt 1 Eurer Anfrage anbetrifft, Ihr, der von Dewitz, bestens dahin sehen sollet, die Euch von Seiten des österreichischen Hofes bereits vorhin geschehene Insinuation, dass nämlich nicht nur Schlesien alleine, sondern alle Meine Lande zu dem zu errichtenden Commercientractat gezogen werden müssten, auf alle Art und Weise und mit der bestmöglichsten Adresse zu ecartiren; daferne Ihr aber finden solltet,



1 Vergl. S. 209.