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jesté seule, d'autant plus que c'est encore un secret en Russie même.“

Soyez persuadé que je n'abuserai point de votre confiance, et que ce sera une satisfaction particulière pour moi, quand je saurais avoir les occasions pour confirmer les sentiments d'estime que j'ai toujours pour vous. Sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach dem Concept.


5643. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWII.S IN BERLIN.

Podewils überreicht, Berlin 22. October, ein Schreiben des hessischen Generallieutenants von Donop, Cassel 20. October, betreffend die französisch-hessische Subsidienverhandlung.1 Votre Majesté y verra que la maison de Hesse déclare enfin de vouloir se contenter des offres faites par la France de 150,000 écus en temps de paix, mais le Landgrave demande pour le temps de guerre 600,000 écus, tandis que la France n'offre, au dernier mot, que 540,000 écus. On demande encore à Cassel que la garantie de Rheinfels doit être comprise dans la garantie générale des États de Hesse,2 et on ne paraît pas vouloir renoncer toutà-fait à la prétention des anciens arrérages des sommes dues par la France depuis la guerre de trente ans.“

Potsdam, 23. October 1752.

Er kann es an M. La Touche communiciren, auch alsdenn Mylord Maréchal einige Information davon geben; aber in gegenwärtigen Umständen glaube Ich nicht, dass die Franzosen darauf entriren werden, und weiss nicht, ob man es ihnen einmal anrathen kann.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


5644. AU LORD MARÉCHAL D'ÉCOSSE A FONTAINEBLEAU.

Potsdam, 24 octobre 1752.

Votre dépêche du 11 de ce mois m'a été bien rendue. Quant aux instructions que vous me demandez sur la manière dont vous ferez parvenir au roi de France la lettre que je lui ai faite de ma main propre3 et que je vous ai envoyée par un exprès, je ne saurais qu'à vous renvoyer à ce que ma dépêche du 10 de ce mois dont j'ai fait accompagner la susdite lettre, vous a marqué là-dessus, et de vous réitérer que vous vous rglerez simplement à ce qui est de l'étiquette de la cour de France à ce sujet.

Mes nouvelles de Vienne continuent à me confirmer les inquiétudes de la cour de Vienne et de ses alliés par rapport aux affaires de Tur-



1 Die französische Antwort auf die hessischen Vorschläge vom 24. August (S. 206) war unter dem 3. October durch den Grafen Podewils nach Cassel mitgetheilt worden.

2 Vergl. S. 161.

3 Nr. 5624 S. 232.