<256> Hofe richten und Dero Démarches deshalb nach denen von der Krone Frankreich compassiren wurden, dergestalt, dass, wann diese bei Schweden einige Anrege und Proposition wegen des zu renouvellirenden Alliance- und Subsidientractats würde thun lassen, des Königs Majestät solches également wegen Ihres mit der Krone Schweden habenden Tractats thun lassen wollten; daferne aber Frankreich vor gut finden dörfte, damit etwas an sich zu halten und die Schweden kommen zu sehen, so würden Se. Königl. Majestät wiederum ein gleiches thun und Sich darunter denen Sentiments von Frankreich conformiren, auf dass alles auf gleiche Art und zu egaler Zeit geschehe. Es sollte auch Mylord Maréchal instruiret werden, mit dem Marquis de Saint-Contest darüber convenablement zu sprechen und von der erfolgten Antwort an Se. Königl. Majestät umständlich zu berichten. Inzwischen auch der von Rohd von dieser Dero Gesinnung deshalb umständlich informiret und ihm zugleich die Nachricht von der eigentlichen Zeit der Durée des zwischen Russland und Schweden ehedem getroffenen Alliancetractats suppeditiret und sonst aufgegeben werden sollte, sich solches nur zu seiner alleinigen Direction dienen zu lassen und inzwischen nur genau Acht zu haben, was diese Sache in Absicht auf die Schweden vor einen Pli nehmen und wie man dorten deshalb denken werde, damit Se. Königl. Majestät das weitere Concert deshalb mit Frankreich nehmen und mit solchem deswegen gleichen Strang ziehen könnten.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


5655. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE ROHD A STOCKHOLM.

Potsdam, 4 novembre 1752.

J'ai bien reçu vos rapports du 20 et du 24 du mois dernier. Quant aux sentiments que le baron de Hœpken vous a manifestés touchant les affaires de Turquie et la fermentation à Constantinople qui continue également, et comme si ces affaires n'avaient donné aucune inquiétude à la cour de Pétersburg, il faut bien que ce ministre ne soit pas tout-à-fait bien instruit de ce qui se passe là-dessus à Vienne, car nous savons qu'il y a là des conférences secrètes sans fin entre les ministres autrichiens et les ambassadeurs de Russie et de Venise, qui, quelques soins qu'ils prennent pour cacher leur embarras, ne laissent pas de le faire apercevoir; aussi les courriers ne font que d'aller et revenir entre Pétersbourg et Vienne, ainsi que les inquiétudes que ces deux cours ont relativement aux affaires de Turquie, sont plus grandes qu'on ne le croit.

Au surplus, je viens d'être informé qu'il est arrivé l'autre jour à Vienne une assez grosse dépêche chiffrée du sieur Celsing pour sa cour. Comme il [n'y a] nul doute qu'il n'y ait dans ces dépêches des parti-