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Der Antrag sei durch Bestushew an den schwedischen Gesandten Posse erfolgt; Bestushew betone u. A.:1 „Qu'il fallait consolider de plus en plus les liaisons entre les deux couronnes, avec lesquelles celles qui subsistaient actuellement entre la Suède, la France et Votre Majesté n'étaient, selon le chancelier Bestushew, rien moins qu'incompatibles. Qu'au surplus, ce ministre n'avait pas fait la moindre mention du maintien de la forme du gouvernement de la Suède, comme d'un article qui pourrait trouver sa place dans la nouvelle convention.

Que la cour de Suède y a fait répondre par des compliments usités en semblables occasions, et par des protestations de son attention scrupuleuse à cimenter et à cultiver l'amitié de l'impératrice des Russies et l'union étroite entre les deux États; que, l'alliance qui subsistait actuellement entre eux ayant encore quatre ans à courir, on aurait tout le temps qu'il fallait pour travailler à son aise à la renouveler, d'autant plus que tous les objets susmentionnés étaient déjà décidés par les traités antérieurs, et que la Suède se flattait de l'amitié de l'Impératrice et de son équité qu'elle remplirait dès à présent les engagements contractés à cet égard, sans attendre qu'on les renouvelât, et que, pour marquer avec dautant plus d'éclat sa précieuse amitié pour la Suède, elle ferait procéder incessamment à achever ce qui restait encore à régler par rapport aux limites.“

Wulfwenstjerna vor die vertrauete Communication der Sache sehr gedanket und ihm ein gracieuses Compliment von Derowegen deshalb gemachet werden solle, mit dem Beifügen, dass die Antwort seines Hofes so ohnvorgleichlich wäre, dass der russische Hof nichts darauf mit einigem Grunde repliciren können würde.

Im Uebrigen haben Se. Königl. Majestät Sich zugleich geäussert, wie Sie nicht verstünden, was der Grosskanzler Bestushew eigentlich mit dem gebrauchten Ausdrucke rien moins qu incompatible hätte sagen wollen, denn solches kein französisch wäre und ganz unverständlich sei.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


5789. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Potsdam, 26. Februar 1753.

Da mit der gestern hier durchgegangenen clevisch reitenden Post der Bericht des Kammerherrn von Ammon wegen geschehener Zeichnung der Commercienconvention2 und der nunmehro darüber erforderlichen Ratificationen an Se. Königl. Majestät angekommen ist und ich nicht wissen kann, ob an Ew. Excellenz das Duplicat davon mit eingelaufen, so habe um so weniger Anstand nehmen können, das Original



1 Die einzelnen Punkte der Mittheilungen Wulfwenstjerna's entsprechen dem, was Baron Höpken dem preussischen Gesandten von Rohd über die von Russland vorgeschlagenen Grundlagen des neuen Vertrages eröffnet hatte; vergl. S. 326.

2 Die von Trudaine und Ammon unterzeichnete Convention ist datirt Paris 14. Februar 1753.