17. AU MÊME.

Le 12 avril 1769.



Monsieur mon cousin,

J'ai toutes les obligations possibles à Votre Altesse des bonnes nouvelles qu'elle me donne de ma chère nièce. S'il plaît à Dieu, il n'y a plus rien à craindre pour cette fois. A la première occasion, cela sera à recommencer, et je crois que, avec quelques sages précautions prises à temps, l'accouchement pourra se passer fort heureusement. Je vous embrasse de tout mon cœur, mon cher prince, ainsi que votre épouse, vous assurant de toute l'étendue de l'estime et de la considération avec laquelle je suis, etc.