<252>et de zèle. L'on ne saurait être plus sensible que je le suis à celles que renferme votre lettre d'hier, qui les exprime de la manière la plus flatteuse. Je les agrée avec le même plaisir que mon rétablissement vous a causé, et je désire, en retour, de vous voir vivre en bonne santé dans la retraite que vous vous êtes choisie, sans qu'aucune incommodité ni inquiétude puisse altérer le contentement et le bien-être dont vous jouissez aujourd'hui à ma grande satisfaction. Sur ce, etc.

76. AU MÊME.

Potsdam, 24 octobre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, l'on ne saurait exprimer avec plus de force et de vivacité le zèle et l'attachement dont vous faites profession pour ma personne. Votre lettre d'hier est remplie de sentiment; les assurances flatteuses qu'elle renferme excitent ma sensibilité, et me dédommagent bien de l'intérêt que j'ai pris jusqu'ici à tout ce qui vous regarde. Je suis ravi d'apprendre la satisfaction que vous éprouvez dans votre particulier; elle ne manquera pas d'influer avantageusement sur votre santé, ce qui me fera plaisir. Sur ce, je prie Dieu, etc.

aBon courage, mon cher comte, prenez des médecines, guérissez-vous, et vous aurez encore du plaisir dans le monde, tandis que vous y vivrez.

77. AU MÊME.

Potsdam, 17 décembre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, si j'ai eu beaucoup de plaisir à vous faire éprouver quelque effet de ma bienveillance et de mon


a De la main du Roi.