<124>celle que ma nièce a éprouvée à ses premières couches. Je crois que c'est une chose à laquelle les médecins devraient penser plus sérieusement qu'ils ne font, car une même récidive vous serait aussi fâcheuse, mon cher prince, que cruelle pour tous ceux qui, comme moi, s'intéressent sincèrement au bien et à la conservation de ma nièce. J'embrasse toutes les occasions qui se présentent pour vous donner des preuves de ma tendre amitié. Mes vœux sont remplis si je puis vous être de quelque utilité, vous assurant, mon cher prince, que personne ne s'intéresse plus à votre prospérité, ni ne vous aime plus tendrement que, etc.